Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Quatre (longs) titres d’une moyenne de dix minutes pour ce troisième album après « Death awakens » en 2011 et « Chalice of Thagirion » en 2011, on ne peut pas dire que Mephorash nous a habitués à ça dans sa carrière.
Formé en 2010, deux-trois changements de line up dans l’intervalle, le groupe suédois continue son petit bonhomme de chemin tranquillement en nous offrant un black metal de qualité qui fleure bon les premiers Watain ou Deathspell Omega.
Les titres sont longs, complexes mais suffisamment accessibles pour ne pas s’y perde en chemin : avec son lot d’ambiances morbides ou guerrières (l’intro de « Berberioth », quel régal) et ses nappes de claviers impalpables mais bien présentes, l’ensemble de « 1557-Rites of nullification » est une œuvre d’une réelle beauté intrinsèque qui ne laissera pas les fans du genre de marbre !
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Le Brésilien Felipe Roquini, résident désormais à Dublin, nous sort le premier EP de son projet « Where angels fear to tread », six titres pour 25 minutes de musique d’un black metal cru et passéiste, mais diablement bien foutu.
Déjà bien aguerri par son passé en tant que batteur au sein de groupes divers comme A Distant Sun (Black / Doom atmosphérique), Vobiscum Inferni (Black metal, il officiait sous le pseudo Miasma), Dismal Gale (Black metal) ou en tant que guest chez Night Witchcraft (Black metal), le gaillard montre qu’on peut avoir son one-man-band et maîtriser son sujet.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 10/10
Une pochette rouge (« Arches Of Entropy », 2010), puis une bleue (« The Doom Skeptron », 2012), puis une verte (« Chasmic Transcendence », 2014) et là, ce monochrome violet (« Stoic Death », 2015) toujours aussi atypique dans le genre musical pratiqué : le Death Métal.
L’esthétique adoptée par Desecresy peut dérouter mais elle est finalement parfaitement raccord avec l’étrangeté de la musique.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
Le précédent LP « Awaken From Slumber » m’ayant littéralement soufflé, j’étais plus qu’impatient de découvrir son successeur : « … to Spread the Flame of Ancients ».
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Note du SoilChroniqueur (Erikillmister) : 8/10
Après l’avènement de Myrath sur la scène internationale, la Tunisie nous refait le coup du Metal oriental avec cette fois le dénommé Nawather concepteur de « wasted years ». A l’instar de la locomotive du métal maghrébin, Le groupe enrobe son œuvre de diverses influences locales telle que l’usage récurrent du qanûn (sorte de cithare). Mais là ou Myrath ne faisait qu’effleurer les sonorités arabisantes, Nawather, lui, fonce tête baissée, créant un mélange détonnant et inédit, comme si la world music se mettait soudainement à copuler frénétiquement avec le heavy metal.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Je ne sais pas ce qu’il se passe en Amérique du Sud en général et au Brésil en particulier mais il doit y avoir un endroit où l’espace-temps s’est arrêté définitivement en 1985.
Prenez Sao Paulo par exemple
Alors là, c’est juste magninfique pour quelqu’un qui a été bercé avec les sons des premiers Venom, Bathory, du tout premier Onslaught, du Sodom de « Obsessed by cruelty », Possessed, Bulldozer…
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Là, on tient quelque chose d’exceptionnel !
On savait déjà que Spektr, duo parisien qui sévit depuis 2000 et qui nous a déjà sorti trois albums (« Et fugit intera fugit irreparabile Tempus » en 2004, « Near death experience » en 2006 et « Cypher » en 2013) et un EP (« Cypher » en 2007), était capable de nous envoyer aux confins de la brutalité en matière de black metal industriel dans sa version la plus barrée qui soit, mais ce « The art to disappear » nous met carrément le cul par terre !
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Cette fois-ci, il semble bien que la carrière d’Exumer est repartie ! Et bien repartie !
Formé il y a exactement trente ans, le groupe allemand (Franckfort), après une demo (« A mortal in black ») nous balance coup sur coup deux albums d’un thrash furieux qui faisait les grands titres des médias spécialisés de l’époque.
Ainsi, en 1986, « Possessed by fire » pose les jalons d’un speed / thrash certes assez basique mais diablement efficace.
Bonjour a tous,
Voici une nouvelle émission radio animée par Julien.
Metal HD cède la place à METAL VISION.
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