Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
Sans faire injure à l’Espagne, en matière de Brutal Death Metal Technique, je n’ai rien écouté de vraiment intéressant depuis Unnatural et son EP « Throne Of Anguish » sorti en 1997. Pour moi, les Espagnols, en plus d’être bons pour les tortillas, excellent davantage dans un registre basique et putride façon Avulsed et Putrevore. Du coup, Wormed sonne comme une anomalie. Nous dirons que c’est sa qualité première.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 6.66/10
Nous sommes tous des névrosés et des pervers en puissance, de manière plus ou moins latente. Cherchez pas, c’est tonton Freud qui l’a dit et il savait ô combien de quoi il parlait. Concernant, les psychopathies, là, c’est autre chose. En tous cas, à défaut de vous faire suivre ou de « voir quelqu’un » – et si vous avez l’impression d’être suivi, faut vraiment songer à « aller voir quelqu’un » – vous pouvez toujours vous rabattre sur la discussion, pas forcément auprès d’un professionnel, autour d’un petit Psychopathology de Ragnarok.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7/10
Envie de jouer avec la mort ?
The Slayer King est une formation grecque de Doom officiant depuis 2013, elle vient juste de sortir son premier opus ‘Sanatana Dharma‘ sous le label Finisterian Dead End.
Voici un album très sombre. Ce que l’on retient majoritairement à son écoute, c’est son efficacité, un album avec des mélodies qui frappent directement. Enfin, on reste dans du Doom quand même, mais celui ci, très sombre, n’essaye de faire trop d’envolées dans des univers mystiques. Si l’on prend par exemple le titre « Magnificient Desolation », The Slayer King nous fait constamment osciller entre le groove d’une basse sur fond clair avec des parties de chant plus sombres et lugubres.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8/10
Je ne saurais dire vraiment pourquoi, mais ça fait quelques temps que Chemical Insomnia tourne dans ma playlist et je n’arrive pas à accrocher. Non que je trouve cet album mauvais, mais je pense que c’est dû au fait que le premier morceau me donne et m’a donné envie de zapper.
Ce morceau incriminé étant pour le coup mal mixé, il rend la voix criarde et désagréable d’entrée de jeu, faisant limite passer Violent X pour des coreux – mais pour le coup, leur nom aurait malgré tout été adéquat. Ironique que le plus mauvais titre de l’album serve de carte de visite audiovisuelle au groupe.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Les musiciens d’Ommatidia en ont peut-être assez de cette comparaison mais je ne peux objectivement pas parler de « Let’s Face It », deuxième album des Parisiens, sans évoquer le passé de Nicolas Chevrollier au sein de The Old Dead Tree car les parallèles musicaux entre ces deux formations sont évidents. Ainsi, ceux qui, comme moi, adoraient le vieil arbre prendront un plaisir certain à l’écoute des dix titres : j’y retrouve ce même subtil équilibre entre pesanteur des guitares, mélancolie et mélodie, tout en restant malheureusement légèrement en deçà des perles que sont « The Nameless Disease » et « The Perpetual Motion », Nicolas n’ayant pas participé à « The Water Fields ».
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Une fois n’est pas coutume, je ne dénigrerai pas cette réédition du « Decay Of Humanity » de Despair par Punishment 18 Records. Déjà parce que même si je connais le nom du groupe depuis fort longtemps (la sortie originale date de 1990 chez Century Media), je ne m’étais jamais intéressé au passé de Waldemar Sorychta dont j’adorais pourtant le jeu de guitare au sein de Grip Inc., la formation de Dave Lombardolorsque ce dernier s’est remis au Thrash suite à son départ de Slayer.
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No Raza sort son 3ème album When Chaos reigns en 2014, un album loin également de tenir du colombin – même si je ne sais pas s’ils en ont chié pour sortir un LP de cette qualité. Comment a-t-on pu passer à coté de cette pépite ; ce ne sont pourtant pas les mines d’or qui manquent dans la région d’Antioche !