Rouen Pagan Gathering : Drenaï + Drakwald + Gorgon + Veliocasses au Hipster Caf ...
par Bloodybarbie
Intervieweuse : Bloodybarbie
Interviewé : Joe Payne (chant)
Traduction : Willhelm von Graffenberg
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Note du Soilchroniqueuse (H.P Hatecraft) : 8/10
Enfin une nouvelle génération de rockers est en train d’émerger, loin des clichés de la rock attitude des metalleux et rockeux, et qui savent aussi jouer de leur gratte et de leur tambourin à la manière de leurs papys et des grands groupes de rock sudiste. Dès qu’on écoute du Black Stone Cherry, on devine vite leur pays d’origine : les USA, précisément du Kentucky – qui est d’ailleurs l’intitulé de ce nouvel et huitième album – à l’instar des ZZTop, Lynyrd Skynyrd, Mötörhead, Popa Chubby…
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Ah ben quand même : 13 ans, ça fait une paie, non ?
Treize années après le dernier album « Real life », Al Fritsch et Mark Mangold nous refont le coup du petit album de hard FM bien estampillé eighties pour un retour aux sources du (hard) rock FM qui faisait fureur il y a trente ans de ça.
Les adorateurs d’Europe, Bon Jovi, Giant ou Mötley Crüe vont s’y retrouver, à coup sûr !
Note du SoilChroniqueur (H.P Hatecraft) : 7.5/10
« Dust » célèbre le 40 ème anniversaire d’un des groupes pionniers du rock prog : The Enid. Mais aussi, il annonce la triste fin du parcours du fondateur et maitre à penser : Robert John Godfrey (ex-Barclay James Harvest [BJH] aussi). Néanmoins, cet opus trouve mieux sa place dans la classe du rock progressif et symphonique, ou post rock. Ce que « Dust » a de spécial aussi c’est qu’il vient terminer une trilogie composée de « Invicta » sorti en 2012 puis « The Bridge » en 2015. Si vous ne connaissez pas The Enid, je vous recommande donc vivement de commencer par le chef d’œuvre « Invicta », l’idéal pour une mise en bouche (ou en oreille) afin de mieux apprécier le reste !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Deuxième album pour les Parisiens de The Distance avec ce « Radio bad deceiver » qui a tout de la petite pépite qu’on aime se passer de temps en temps ne serait-ce que pour se prendre une grande dose d’ondes positives.
48 minutes, douze titres pour autant de bouffées d’oxygène, The Distance nous balance un album à la fraîcheur certaine et à l’énergie débordante à la croisée des Foo Fighters, Queen Of The Stone Ages et parfois aux regrettés Les Thugs.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 7/10
Certains groupes sont comme la maladie de Lyme : leur mimétisme fausse totalement un diagnostic jusqu’à ce qu’on finisse par identifier d’où vient le mal. Evenline est de ceux-là.
Commençons par aborder le positif dans leur album Dear Morpheus, premier album du quatuor de la périphérie parisienne. C’est très bien joué, très bien interprété par des musiciens au taquet, la production est aux petits oignons (avec ou sans « i » selon que vous soyez pro ou anti réforme de l’orthographe), l’agence de communication qui les gère, également, visiblement. Le son est nickel, les morceaux sont efficaces (que du tube au refrain accrocheur, en gros), le double album (le 2ème CD contenant des versions acoustiques) est un plus évident au niveau packaging, c’est très bien joué – je l’ai déjà dit, non ? Une perfection presque trop parfaite, si on fait abstraction du fait que les rares soli ne soient pas davantage mis en avant dans le mix et le fait que l’auteur des textes ne parle pas un anglais parfait qui lui ferait oublier que cette langue a aussi des syllabes accentuées, et que les siennes ne sont pas toujours idéalement placées.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Depuis le début des années 2000 les Catalans de Foscor envoient un Black Metal obscur et inspiré, quelque part entre Enslaved et les vieux Mayhem. Pas dégueu donc. Cela dit, ce n’est pas tout d’avoir de bonnes influences, encore faut-il en être à la hauteur. De ce côté-là, pas de problème, le deuxième album (ils en sont à quatre) « The Smile of the Sad Ones » est vraiment excellent pour peu que l’on apprécie les groupes mentionnés ci-dessus.
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