Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
Il y a un style Grindcore typiquement suédois. D’aucun pourrait le trouver trop propre sur soi mais question violence, il n’y a jamais eu trop photo. Nasum, Rotten Sound et ici Gadget, que de la valeur sûre. « The Great Destroyer », c’est donc dix-sept titres de Powerviolence, Fastcore, Grindcore, parfois D-Beat, autant de sous genres extrêmes qui en veulent à vos tympans et, accessoirement, à votre vie sociale. De toute façon, si vous lisez ces lignes, vous n’en avez déjà plus beaucoup, ou alors vous avez de la chance.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.5/10
Bud Spencer est mort. J’en garderai le souvenir, déjà tout gamin, des films/comédies à baffes, dans lesquels il se foutait sur la tronche avec son comparse/pote Terence Hill. Mais, dans la série « saviez-vous que », il est aussi connu pour la trilogie « Trinita » du western spaghetti (et sa séquelle finale Maintenant, on l’appelle Plata). J’avoue que, gosse, j’avais du mal à adhérer : pas assez rigolo, à part « Pouet Pouet », le bébé nourri aux fayots et qui passe son temps à péter – le pet, cette source de rire universel. Mais il m’arrive de les regarder de nouveau sous un autre angle, avec le recul.
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Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8.5/10
Il faut dire que ça manquait sacrément de bon Death mélo aux sorties de cette année, en attendant le nouvel album d’Insomnium et de Dark Tranquillity… Voilà de quoi vous faire patienter ! Rien qu’à l’écoute de l’opening « For The Darkening », je vous garantis que vous serez déjà sous le charme et prêts à aller plus loin (qui a dit qu’il ne faut pas coucher dès la 3ème minute ?) et à le dévorer !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
En ces jours sombres où l’on aime bien que tout soit placardisé, répertorié, mis dans des tiroirs bien spécifiques avec pour adage « une place pour chaque chose et chaque chose à sa place », il est de bon ton d’être capable de mettre une étiquette incollable sur chaque singleton, lui-même rangé avec tout plein de ses semblables dans des unités, elles-mêmes etc…
Surtout ne pas boutonner sa chemise en mettant le lundi dans le mardi sinon c’est l’anarchie, le chaos, le désordre ou pire, le boxon.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
Affreux, sale et méchant, telle pourrait être la définition de ce nouvel album de Nails : « You Will Never Be One Of Us ». Tous les trois ans (jusqu’à présent), le trio américain revient nous mettre la tronche dans les chiottes avec son Powerviolence radical dont l’approche Noise met tous les curseurs de bienséance dans le rouge. Les grincheux feront remarquer que dix titres pour seulement vingt minutes, avec en plus un « They Come Crawling Back » qui en fait à lui seul la moitié, c’est peut-être abusé mais n’oublions pas que l’on parle de Grindcore : même les plus acharnés reconnaissent que c’est suffisant tant l’agression constante serait difficilement supportable sur une plus longue durée.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 7.5/10
« Cher Patron… » Il y a des groupes dont on se sait pas trop où ils veulent en venir, sur quelles eaux ils veulent voguer… Avec Whitechapel, on conçoit bien celles de la Tamise, sombres et bourbeuses, aptes à faire disparaitre un cadavre de l’œil des vivants. Pourtant le groupe étasunien, dont Mark of the Blade est le 6ème album, les noie davantage dans le Tennessee, vu qu’originaires de Knoxville.
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Intervieweuse : Bloodybarbie
Interviewé : Pontus (guitare)
Traduction : Willhelm von Graffenberg
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10
Juin 2014, Clisson…
« Chris, tu devrais faire un saut à la Mainstage », qu’il me dit !
J’avais prévu de me faire plaisir en assistant au set de Satan’s Satyr à la Valley mais bon, il était tellement insistant qu’il devait sans doute avoir raison.
Et effectivement, ce fut une claque, une belle, de celles dont on se rappelle pendant un moment.
Retourné chez moi, je me prends leur album et c’est un tel coup de cœur que ça a fini par donner une chronique spontanée.
Oui, Scorpion Child m’avait impressionné.
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 2/10
Amis scato, voici un beau tas de merde pour vous. Amis sado, si vous voulez torturer un mélomane digne de ce nom, alors attachez le et mettez lui cet album à fond. Amis maso, si vous voulez vous auto-torturer, alors essayez d’écouter ne serait-ce qu’un demi-morceau (à jeun, pour éviter tout risque de gerber et vous salir).
Mes chers amis, les autres moins déviants, si vous avez un peu de respect pour vous-mêmes et surtout pour ce qu’on appelle “Musique” ou “Metal”, alors épargnez-vous ce supplice, ça ne serait qu’une perte de temps et d’argent. Pour ma part, je suis SM (mais pas trop scato, j’avoue) et surtout chroniqueuse, donc je me dois d’écouter au moins deux fois avant de prendre ma position, et je peux vous dire qu’aussi SM que je puisse être, ces deux fois étaient une véritable punition pour moi – « ce qui correspond bien à la philosophie SM », me rétorquerez-vous, mais j’ai aussi des limites.
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