Note du Soilchroniqueur (ShaK) : 9/10
Revoilà nos Italiens favoris (n’y voyez aucune allusion footballistique dans mes propos), et le moins que l’on puisse dire c’est que ceux-là ne chôment pas (que nenni, toujours pas d’allusion). Formé en 1994 autour de Marco Coti Zelati (basse) et Andrea Ferro (chant), rapidement rejoints par la sublime Cristina Scabbia (chant), le combo, originaire de Milan ne ménage pas sa peine depuis plus de 20 ans.
Je me rappelle encore de ce jour de 1999, où, chez mon disquaire favori, je tombais un peu par hasard sur ce premier album sobrement intitulé « In a Reverie ». Ma seule garantie, suffisante pour que j’investisse dans ce disque, était Waldemar Sorychta qui le produisait. Je dois avouer que dès lors, je n’ai eu de cesse d’écouter les Italiens. En effet, chose assez peu courante à l’époque, le mélange du chant masculin et féminin apportait une vraie nouveauté.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Pour les fans de littérature auxquels le nom de Dexter Ward parle un tantinet, il s’agit d’un personnage de la nouvelle fantastique « L’Affaire Charles Dexter Ward » d’Howard Phillips Lovecraft, s’inscrivant dans l’univers du mythe de Cthulhu et publiée en décembre 1941 dans « Weird Tales ».
Pour les fans de musique uniquement, ça sera le nom de ce groupe italo-grec formé en 2009 qui aura compté dans ses rangs le batteur Angelos Tsoukalas (Angelo Perlepes’ Mystery, ex-Kerno, ex-Bloodstained, ex-Blood Covered, ex-Flames, ex-Kinetic, ex-Obduktion, ex-Obsecration, ex-Power Crue, ex-Phantom Lord, ex-Vice Human) jusqu’en 2010.
Interviewers : Metalfreak & Bloodybarbie
Interviewés : Marc « Busi » Busqué (guitares)
Traductions : Laura K.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Bornyhake, quand il n’est pas en studio, il est en concert, et réciproquement… je ne vois pas d’autres solutions !
Entre Borgne, Enoid, Haine, Pure et Ravnkald, celui qui officiait également dans Gerbophilia, Kawir ou Krigar semble ne pas avoir beaucoup de temps à lui pour autre chose que la musique.
Quand on rajoute qu’il ne sort quasiment que des albums de qualité, on aura fait le tour du personnage.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Jorn aime les reprises.
Ca, on le sait depuis le premier album « Starfire »
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Il y a les précurseurs dont on a tous entendu parler et les autres, les obscurs.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 9.5/10
De la noirceur, de la puissance, de la violence, du symphonique bien épique, orchestral et choral… Qu’est-ce qui pourrait davantage combler mon vice ? Bon, d’accord, la promiscuité avec de jeunes beautés diaphanes et callipyges me siérait bien au teint livide et cadavérique qu’est le mien, mais avec République, 3ème album du groupe français Malevolentia, j’ai envie de lancer un énorme « cocorico ! » – avant d’aller me faire égorger sur un autel sacrificiel, bien sur.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Mon côté vieux nostalgique me pousse à parler de Zephyrous, des grecs affiliés au Black Métal du fait de vocaux principalement criards mais qui, musicalement, pourraient facilement être classés dans la World Music, j’en vois déjà fermer leur fenêtre Internet rien qu’à l’évocation de ce genre.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10
Si je mets un petit coup de phare sur Raide Mort, c’est uniquement parce qu’il y a Dirk Verbeuren dedans. Peut-être qu’on saura un jour ce qu’il peut bien foutre chez Soilwork tant son talent me semble mériter bien mieux…
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Note du Soilchroniqueur (Erikillmister) : 8/10
Hellsodomy… Passée l’hilarité que provoque (chez moi en tout cas !) le vocable du combo, je me rends vite compte que j’ai, somme toute, affaire à un sacré client ! Certes, nos amis Turcs tout droit arrivés de la ville de Kadıköy sont tout sauf originaux, car les riffs moulinés avec ardeur ont été maints et maints fois entendus, mais il n’en reste pas moins qu’Hellsodomy fait diantrement bien le boulot.
Avec un nom pareil, on se doutait bien que Nekro Kasil et ses comparses ne feraient pas dans la dentelle et qu’il y avait donc de fortes chances qu’on ait plus affaire à du bourrinage en règle plutôt qu’a du prog métal, et c’est donc sans surprise que « Sinister Force », premier brûlot de « Chaostorm », nous explose à la face d’une façon malsaine et irrévérencieuse que ne renierait pas Cannibal Corpse.
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