Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Il y a trois ans, on s’était félicités du retour de Suicidal Tendencies avec un « 13 » de treize titres sorti en 2013 et ce treize années après leur album précédent « Free your Soul and save my Mind ».
On était ravis de voir le groupe revenir en pleine forme avec une patate digne de leur période la plus faste avec enfin un Suicidal Tendencies avec l’envie d’en découdre comme dans le temps en nous rappelant que ce sont eux, les géniteurs des albums « Join the Army », « Feel like Shit… » ou « The Art of Rebellion ».
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 10/10
Nul. Misérable. A chier. Navrant. Minable. Pourri. Pitoyable. Voici une liste très sommaire des qualificatifs dont je n’userai pas au sujet de Proponent for Sentience, quatrième album d’Allegaeon.
Comme vous vous en doutez, ma chronique risque d’être courte tant elle pourrait se résumer à un seul et unique mot : excellent ! C’est simple, depuis ma découverte de Fleshgod Apocalypse avec The Agony, je n’avais pas pris une grosse claque de cette ampleur. Si j’évoque Fleshgod, c’est un peu parce qu’on est non seulement au même niveau d’exigence et d’ambition, mais parce qu’on pourrait faire un relationnel entre Allegaeon et eux, notamment dans les passages orchestrés et arrangés pour chœur (parmi mes préférés, comme vous pouvez également vous en douter), mais sans en être un ersatz ou chercher à copier-coller, tant leurs influences vont piocher de ci de là, dans le Heavy ( « Demons of an intricate Design »), le Black (« Terrathaw and the Quake »), l’Emo/Core (« Cognitive Computations »), le tout en ayant évidemment en trame de fond de Death mélodique ultra technique et maitrisée de bout en bout. Je ne m’étendrai donc pas sur la production, soignée comme il se doit pour un album de ce niveau.
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Live report : Willhelm von Graffenberg & Bloodybarbie
Photos & vidéos : Bloodybarbie
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Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10
La précédente déception d’Epica, « The Quantum Enigma », était vite tombée dans mes oubliettes, déjà parce que Simone avait perdu sa belle voix suite à son accouchement (elle avoua elle-même qu’elle n’avait pas repris des cours de chant) mais aussi parce que rien dans cet opus n’avait retenu mon attention. Mais avec leur nouvelle œuvre (ou chef-d’œuvre : « The Holographic Principle », nos chers hollandais reviennent en force avec un nouvel album que je qualifierais de meilleur que son prédécesseur pour commencer. Au début, il peut vous sembler difficile d’accès (surtout si vous l’écoutez avec des écouteurs pourris et un mp3), mais en multipliant les écoutes, on finit par déceler ses subtilités et merveilles jusqu’à finir par succomber à son charme. Ma mère qui ne supporte pas le métal, mon ami qui écoute de la techno ou ma tata retraitée fan de musique classique ont tous adoré cet album malgré les growls de Mark Jansen.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar):8/10
Alors comme ça, t’aimes le Heavy Metal ?
Oui, toi qui vois apparaître ces quelques lignes. Arrête-toi de suite ! On va rompre ta monotonie. Tu reprendras le fil de tes activités plus tard….Oui, c’est bien à toi qui grogne que l’on s’adresse.
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Quelle baffe ! J’avoue que quand j’ai reçu l’album de ce quintet français au nom improbable, Los Disidentes Del Sucio Motel, semblant tout droit sorti d’un film de Tarantino, j’étais très loin de m’attendre à prendre un pied pareil ! Ceux qui, comme moi, aiment les morceaux à tiroirs vont être servis ! Le combo évite soigneusement les lieux communs distillant avec brio avec une musique quasiment inclassable.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Inutile d’être très intelligent pour comprendre que lorsque tu as entre les mains un skeud de 41 pistes, c’est du Grind.
Les mecs ont beau se dire « gentlemen », tu as l’assurance de te faire perforer la boîte à chocolat. Ne connaissant absolument pas The Afternoon Gentlemen, j’ai d’abord été un peu effrayé de devoir subir les cinquante minutes que dure cette compilation mais, fort heureusement, le style pratiqué ici supporte une écoute prolongée.
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