Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
‘Enorme’. Adjectif, du latin ‘Enormis’, qui est hors de la norme.
Si on se réfère à la première définition, ce mot veut dire « qui a des dimensions, une importance impressionnantes, qui est en quantité colossale ; gigantesque ». Mais on va encore dire que je me réfère à des connotations phalliques, ce qui n’est pas le sujet ici.
Plus familièrement, « énorme » signifie « qui déconcerte, surprend par son caractère extraordinaire, invraisemblable, monstrueux ». Exemple : 7 Weeks vient de sortir un album énorme ! Car oui, avec son quatrième album – tous les précédents étant de grande qualité également – 7 Weeks fait très fort.
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 3.33/10
Etant amateur de BM sympho, je me suis dit : « Pourquoi ne pas tenter un petit retour aux sources, histoire de… ? » « Monumentale erreur ! » comme dirait Jack Slater (A. Schwarzenegger) dans Last Action Hero.
Les temps passent, les temps changent, et les Tampax se changent ; Gebrechlichkeit (« infirmité » pour les non germanophones), avec leur deuxième album « burzumlike » Aphorismen der Angst(« aphorismes de la peur » pour les non germanophones) voudrait nous faire passer du vieux sang coagulé pour des menstrues de jeune fille en fleur.
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Le Black Metal est fondamentalement lié aux identités nationales. Les Norvégiens ont un style qui leur est propre, de même que les Sud-américains, les Français ou encore les Canadiens par exemple.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Et un nouveau groupe de thrash old school, un !
Celui là, il nous vient de la capitale espagnole : les quatre Madrilènes nous sortent leur premier album d’un thrash metal influencé tant par la Bay Area des années 80 que par la scène allemande façonSodom époque « Agent orange » avec quelques relents à la Flotsam and Jetsam, Morbid Saint, Hirax ou Vio-lence !
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8/10
« La vie est une comédie italienne » comme dirait Guy Bedos entre deux envois de mots doux à Nadine Morano.
Bienvenue dans cette divine comédie infernale dans laquelle la réalité est telle qu’on ressent le besoin de l’augmenter pour l’embellir – bon, en vrai, c’est comme un lendemain de cuite, rien n’a changé au réveil –, dans laquelle les univers artificiels deviennent religion (et inversement)… dans un futur orwellien, en somme. Le futur de la musique est-il assuré dans cette vision dystopique des choses ?
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 7/10
Et si, pour continuer dans les chroniques de l’été, on parlait maintenant du tube de l’été ?! Je ne parle bien entendu pas de celui de vaseline ou de crème solaire, mais restons dans la musique et ne me faites pas m’éloigner du sujet si vous ne voulez pas que je me disperse, alors que je suis français…
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
“C’est des malades !!!”
Non, je ne suis pas en train de me faire une scène du film “Les visiteurs” en jouant le rôle d’un facteur se faisant agresser à la hache par des vilains laiderons venus tout droit du Moyen Age !
Je viens juste de m’écouter le troisième album des Norvégiens d’Infant Death après « War » (2013) et « Total Hell » (2014)… et c’est le premier cri du cœur, spontané tout comme il faut qui me vient après le premier passage des dix titres de ce « Violent Rites » !
En une petite demi heure, le trio incluant deux membres (Kim Kane et Knegge) qui jouent à la fois dans le groupe death/grind Gangrenator et dans un certain Hellstorm (celui qui a sorti «Fucking bleed » en 1999 et « Sacrifice Sacrifice » en 2012), du même tonneau musical qu’Infant Death.
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 8/10
« He is back, the Man behind the Mask«
Voici un groupe qui nous a fait connaitre l’Eurovision ! Il faut dire qu’avant le « Hard Rock Hallelujah« , beaucoup d’amateurs de bonne musique n’avaient pas l’idée de ce qu’était ce concours de chant entre pays européens. Il aura fallu attendre 2006 (cela fait quand même dix ans) pour que tous les ans ont ait une pensée pour ces monstres finlandais qui ont réussit à amener de la bonne musique dans un concours qui frise souvent le ridicule.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6/10
Grond a beau être un nom qui ne sonne vraiment pas terrible, on n’en dénombre pourtant pas moins de six occurrences de par le monde, tous évoluant dans le Black ou le Death.
Bon.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 4,5/10
Parmi les retours, souvent attendus et espérés de groupes qui nous ont sorti des albums cultes, il y a ceux qui ne nous ont pas déçus (Satan, Ruthless, Assassin, Killer, Rogue Male) ou ceux qui sont de véritables catastrophes et qui auraient du s’abstenir (Evil, Ministry…).
Destructor, soyons francs, se trouve à mi-chemin entre les deux.