Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10

Le bon son de Gothenburg est de retour avec les deux sorties les plus attendues de 2016 du Death mélodique, puisque les pionniers du genre sortent leur nouvel album à la même date, le 11 Novembre 2016. Parce que bon, expérimentalement et statistiquement parlant, 90% des meilleurs groupes de Death mélo sont suédois et 90% de ces groupes suédois sont de Gothenburg, (je vous laisse faire le calcul). Donc on en déduit que pour être sûrs de faire du Death mélo digne de ce nom, il faut être suédois pur souche et, oui, c’est dans les gènes ! Tout comme pour faire du Heavy Metal de qualité, il faut être allemand et pour faire du Grind… euh… là, on ne parle pas de bon ou de mauvais (puisque le Grind, c’est mauvais, par définition), il faut avoir des gènes de merde (comme beaucoup d’entre nous).

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8/10

Kai Hansen, c’est LE zicos que tout metalleux aimerait avoir comme pote. Le « lutin farceur » (enfin, c’est comme ça que je l’ai toujours vu) est un Dieu du Metal depuis des années et il mérite toute l’estime et la révérence de cet univers de par son cursus personnel comme professionnel : le monsieur, non content d’être une brute de musique, avec plein de référence de sa culture musicale germanique est également autodidacte – si vous ne le saviez pas – et a une patte indéniable qu’on peut saisir dans chacun des divers projets où il a pris part : le compositeur de Keepers of the seven Keys, meilleur opus à ce jour d’Helloween est également le mastermind de Gamma Ray, Unisonic dans lequel il retrouvait son précédent comparse Michael Kiske, ex-chanteur d’Helloween.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
C’est fou ce que c’est long, trois années, quand on aime particulièrement un groupe.
Trois ans après leur dernier chef d’œuvre, le double album « Cursed Storm of Ages » (2013), le désormais duo Germano-américain Battle Dagorath nous revient avec ce quatrième album « I – Dark Dragons of the Cosmos », premier volet d’un diptyque dont la suite devrait voir le jour avant la fin de l’année.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10

“Bonjour, nous faisons du metal, nous nous appelons Legion”… La belle affaire ! Dans le milieu, ils ne sont pas moins d’une quarantaine de groupes qui s’appellent comme ça, et on va éviter de dénombrer la quantité industrielle de formations ayant ce mot dans le nom de groupe !

Eux, ils sont américains, ce qui limite à huit le nombre de groupes du même pays, et font dans le heavy metal. Là, pour le coup, ils ne sont plus que trois…
Si on vous dit qu’ils ont compté dans leur rang le chanteur Chandler Mogel (Outloud), ça nous parlera légèrement plus… quoique ! Articulé autour des deux guitaristes et frangins Adamo, Frank et Joe de leurs prénoms, le groupe du New Jersey formé en 1999 en est à son deuxième album après un “Shadow of the King” qui date déjà de 2005.

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.5/10

« Salade de fruits, jolie, jolie, jolie : tu plais à mon père, tu plais à ma mère… » (André Raimbourg A.K.A. Bourvil) SludgeHammer aurait également pu tirer son influence du « Sledgehammer » de Peter Gabriel tant, avec The fallen Sun, son premier album, il peut plaire à beaucoup.

« Ce n’est qu’un début, continuons le combat ! » (adage populaire désormais disparu) Autant d’habitude je tique un peu sur les premiers albums, limite je cherche l’excuse du débutant, faute de chance du débutant, ici, c’est propre et varié… très varié… trop varié ?

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

Selon les informations que j’ai pu glaner, le duo chilien de Concatenatus aurait sorti une démo, un EP et une compilation, ces deux derniers portant le même nom à rallonge : « Aeonic Dissonances beyond Light’s Consumption ». Outre le fait que j’ai franchement du mal à saisir la logique de tout ça, il y a en plus ce nom qui m’évoque les gesticulations hystériques d’un Louis de Funès après sa décongélation ou encore le fait que le titre « Intro » soit en quatrième position… Bref, j’ai pas encore écouté le disque que je suis déjà à patauger dans le grand néant des interrogations vaines.

Interviewer : Celtikwar
Interviewé : Guillaume (basse)

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10

Crowbar, c’est un peu une espèce de légende dans son genre. Les mecs hyper respectés, des potes de Pantera, Eyehategod et Corrosion of Conformity, tout est dit. En plus, j’adore les vieux albums, sachant que je n’ai rien écouté qui soit postérieur à « Sonic Excess In Its Purest Form » mais peu importe, ça me fait chier de ne pas pouvoir dire du bien.

Note de la soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10

C’est l’histoire d’un coup de foudre direct : c’était en mars 2016 en première partie de Baroness que j’ai fait la connaissance inoubliable de Dora Dora (l’exploratrice), pardon c’est Domadora, un groupe parisien dont je n’avais jamais entendu parler avant ce jour-là ! Encore une fois, ma théorie se confirme, les meilleurs sont ceux dont on n’entend jamais parler ! Comme quoi, avec un bassiste, un guitariste et un batteur, on peut faire des merveilles quand on est un minimum doué et créatif.

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 6.5/10

Quel est le comble pour un chroniqueur ? Recevoir l’album d’un groupe qui se fait appeler « Beyond Chronicles ».
Quel est le comble pour un groupe qui se fait appeler Beyond Chronicles ? Ne pas être exempt d’en recevoir une, de chronique.
Quel est le comble pour un album intitulé Human Nation d’un groupe qui se fait appeler Beyond Chronicles ? Ne pas être au-delà de toute chronique, voire ne pas en recevoir une bonne.
Allez hop, on met le skeud et on push « Play » !