Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Alors celle là, je ne l’avais jusqu’alors jamais racontée.
Le 27 juillet 2012, on n’a pas fait qu’inaugurer les Jeux Olympiques d’été de Londres, c’était aussi le jour de la sortie officielle de “Dark Roots of Earth”, dernier album de Testament avant ce “Brotherhood of the Snake”. Comme je fais partie de ces fans de musiques qui se doivent d’acheter les albums de leurs groupes favoris le jour de leur sortie, je me suis dit que c’était le moment d’aller dans cette fameuse enseigne nationale, même Franchement Nulle A Chier, il Fallait Nous Acheter Ça ! Je me tape donc les trente bornes me séparant dudit magasin et passe un bon temps à farfouiller dans le rayon metal…
Note du SoilChroniqueur (Valquest) : 7.5/10
Voilà déjà 3 ans que l’excellent « Fortress » est sorti avec ses riffs, mélodies et soli complètement épiques de Mark Tremonti et les envolées lyriques de Myles Kennedy, ce qui fait de lui l’un des chanteurs les plus impressionnants du milieu. L’album a eu un énorme succès et a été plus que croissant avec cette popularité du groupe qui n’a cessé de grandir depuis le 1er album, notamment sur « Blackbird« , qui reste, pour la plupart, le chef d’œuvre incontesté du groupe.
Les voilà de retour avec « The last Hero » qui, selon Tremonti, devrait être l’album le plus heavy du groupe.
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Note du Soilchroniqueur (Lusaimoi) : 7,5/10
Synopsys est un groupe dont le nom prend tout son sens en live. Les musiciens s’y effacent au profit d’un film composé d’extraits parfois terribles, parfois poétiques, diffusé en arrière-plan, laissant l’auditeur se faire son propre scénario, bercé par des atmosphères variées mais jamais enclines à la joie. Des ambiances que porte particulièrement bien le genre dans lequel les Avignonnais évoluent et qui se voit fortement influencé par les désormais maîtres dans le domaine : Cult of Luna.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 5/10
Vous êtes-vous déjà tapé une barre à imaginer (voire imiter, pour les fans de Didier Gustin) des chansons interprétées par un autre chanteur que l’original, toujours plus improbable. Je ne parle pas de ces gens qui se prennent au sérieux pour faire des compilations « en hommage » (disent-ils), tous sortis de télé-crochets qu’ils ont gagné davantage par leur physique avantageux que par leur talent. Nooon, je parle de versions complètement absurdes, comme « Je t’aime moi non plus » qui serait chantée par Claude François, « Belle » qui serait beuglée en trio par Johnny, Eddy et Dick, d’« Allumer le feu(j) » qui serait aboyée par Le Pen (n’est paaas ?)… Avec Myriad Lights et leur second album Kingdom of Sand, on se trouve un peu dans ce cas de figure – pas celui avec Le Pen, mais de chanteurs improbables sur des chansons incompatibles.
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Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 9/10
Très, très cher Alcest,
Par la présente, j’aimerai vous témoigner de mon admiration infinie envers votre travail unique et inégalé depuis vos débuts. Une musique qui ne peut que séduire et hanter tout mélomane pas trop allergique aux cris (le cas échéant, il n’a qu’à écouter « Shelter »), qui sait les apprécier, les savourer et les dévorer des oreilles à leur juste valeur. J’ignore comment vous faites pour avoir un tel effet sur l’auditeur, mais le résultat est à en couper le souffle d’émotion à chaque album. Vous êtes au Shoegaze ce que Paul Bocuse est à la gastronomie : j’ai beau essayer de vous trouver un semblable, pour varier les goûts et ne pas enrayer mon CD, il ne se passe pas une nuit sans que j’écoute votre musique depuis plus d’un an déjà. Oui parce qu’avant, je ne vous connaissais que de nom et je n’avais pas eu l’occasion d’écouter jusqu’au Motocultor où je suis complètement tombée sous le charme de votre musique, à en verser une larme de cette explosion émotionnelle et de l’effet que vos œuvres exercent sur ma personne.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Duo Germano-Chilien, Xalpen est la rencontre entre le bassiste/chanteur Alvaro Lillo (Execrator, Kako Daimon, Undercroft, Watain (live), ex-Hellfire, ex-Hostile Reaction) et le guitariste/chanteur J.P. Nunez (ex-Bloody Torture, ex-Swarm of Hatred) et propose un raw black metal on-ne-peut-plus cru, occulte et emprunt d’un ésotérisme flagrant !
Brutales au possible, les six compositions de cet EP de 23 minutes, sorti un certain six juin 2016 sont une véritable descente aux tréfonds des Enfers.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10
Il ne nous rajeunit pas ce groupe. Cerebral Fix, c’est le grand retour vers l’époque bénie (ou pas d’ailleurs, c’est selon) du Crossover, ce mix barbare de Hardcore et de Thrash qui n’a d’ailleurs rien de commun avec le Thrashcore, je pinaille peut-être mais les mots ont encore un peu de sens. Bref, alors que les types avaient sorti leur premier album en 1988 (« Life sucks… And then you die ! »), depuis 1992 et « Death Erotica », c’était le silence absolu. C’est donc un joli coup de la part de Xtreem Music que d’avoir signé les Anglais pour leur reformation qui prend donc la forme de « Disaster of Reality », soit douze titres figés dans le passé.
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Note de la SoilChroniqueuse (Excalibur) : 7/10
« Paaaaalaaaaace, ton univers impitoyaaaaaableueueu….. » J’ai pas bon ? C’est pas ça ? Pourtant on est bien revenu dans les années 80, non ?
Parce que question ambiance 80’s, pour leur premier album, Palace n’a pas lésiné… Dès le premier morceau, « Master of the Universe » : une intro au synthé aussi grandiloquente que celle de « The final Countdown » d’ Europe… Flash back ! Coluche n’est pas mort. Mon père roule en BX. Je fantasme sur Nicky Larson. Toto cartonne avec « Stop loving you », Bon Jovi avec « Livin on a Prayer »…
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Intervieweuse : Bloodybarbie
Interviewé : Ozo (Basse/Chant)
Traduction : Willhelm von Graffenberg
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 6.5/10
Non, la Bavière ne propose pas que des gâteaux au chocolat ou des jolies serveuses dans des tenues traditionnelles, mais aussi de la bonne musique instrumentale, eu égard à 7th Abyss et son album Unvoiced.
Ce quintette nous vient de Würzburg (si c’est trop chaud à retenir, « Bavière », ça suffit amplement) et propose un Metalprincipalement Death mélo dans l’ensemble, dans la veine de Soilwork, teinté de diverses touches de noirceur, peut-être pas 50 nuances mais ça ne respire pas les couleurs vives, même si c’est assez criard dans l’ensemble. C’est d’ailleurs là qu’est le problème majeur parmi tous ces riffs mineurs : si la partie instrumentale est quasi irréprochable car variée et de bon aloi, la voix, c’est pas vraiment ça !
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