Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Deux membres du groupe de thrash metal Destructor qui se rencontrent pour former un groupe de hard rock avec le bassiste des stoner Venomin James, une voix à la Paul Stanley, une musique qui confronte des influences telles que Motörhead, Turbonegro, AC/DC, Thin Lizzy ou plus récemment Bullet, voilà qui va parler à tous les adorateurs de heavy/rock porteurs de blousons en cuir, lunettes noires et barbes démesurées.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 10/10
Chez Diapsiquir, il y a le goût de la langue française, le sens aigu du choix des mots, l’art consommé de la punchline qui tape dans le mille, qui fait mal. Un raccourci hâtif pourrait comparer cet art au Hip-Hop mais aucun rappeur, aussi critique soit-il, n’est aujourd’hui en mesure de rivaliser avec la plume de Toxik Harmstn, sa façon unique de se jouer des sons, des rythmes, des métriques. Son phrasé est unique, de même que les thématiques abordées.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 6/10
« J’espère que nous pourrons inspirer ne serait-ce qu’une personne », « la musique c’est ma vie », « on n’a pas besoin de se conformer à une tendance de la scène où ton style capillaire compte davantage que ta musique », « c’est de l’art. J’aimerais que d’autres le ressentent comme nous »… Citation de Shayley – je n’ose croire que c’est une référence au poète britannique mal orthographié – « Dayshell » Bourget pour l’occasion de la sortie du deuxième – second ? – album de Dayshell intitulé Nexus… Bien, bien, bien… Voyons voir si les allégations sont à la hauteur de la prétention…
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
Si je ne devais m’attacher qu’à la forme, je serais alors obligé de reconnaître qu’elle est irréprochable. Julien Truchan est un vocaliste exceptionnel, le niveau des musiciens est à tomber et les compositions n’ont sans doute jamais été aussi variées : Grind, Death, Hardcore (les chœurs sur « Psychosilencer »), Deathcore, c’est la Samaritaine du bestial avec quelques passages purement démentiels, sur « Leatherface » par exemple ou encore la bombe « Necrobreed ».
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar):10/10
Y’a pas à dire ça fait quand même du bien.
Un tel titre d’album, ne pouvait que ce trouver sur un disque de Grave Digger.
Depuis 1980 et ce sans pauses, les teutons de Grave Digger nous bombardent d’albums, ‘Healed by Metal’ est donc le dix-huitième, un tous les deux ans. Certains disques sont cultissimes, il ne passe pas une seule année sans que le Celtikwar ne réécoute un ‘Excalibur’ ou ‘Tunes of War’, un seul mois sans fredonner ‘Liberty Or Death’ ou ‘The Clans will rise again’ et encore ‘Heavy Metal Breakdown’… Enfin bref, la liste est longue et Grave Digger, c’est comme le cochon : dedans, tout est bon.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Le jour se lève dans la joie. Un EP, un album. Assiste-t-on à une inversion totale des valeurs portées par le Black Métal ? La prochaine étape est-elle de se peindre des fleurs sur le visage à la place des masques de mort en noir et blanc ? Un rapide coup d’œil sur les titres semble heureusement démontrer que non (« Nos décombres », « Après le carnage », « La fin du monde », etc.) mais les thématiques abordées par Au Champ des Morts me font néanmoins plus penser aux Contemplations d’un Victor Hugo qu’à l’obscurantisme habituel. Ce n’est pas pour me déplaire cela dit, j’avais un faible pour la poésie romantique dans ma jeunesse.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Formé en 2005 sous le nom de Stay Hungry, c’est en 2010 que le groupe prend le nom de Fabulous Disaster afin de jouer une musique purement thrash metal. Un EP autoproduit voit le jour la même année (“When the Silence’s so loud”) sur lequel on a droit à une reprise du “Whiplash” de Metallica. Trois démos suivront en 2014 et 2015 avant ce premier véritable full length, toujours autoproduit, sur lequel cinq titres déjà sortis sur les démos et cinq nouveaux morceaux.
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Mikee donne quelques détails sur l’enregistrement de l’album : « En réécoutant certains morceaux, je dois avouer que cet album a été l’un des plus stressant à composer , il a poussé certains d’entre nous jusqu’à nos limites et au-delà.. je commence à réaliser que nous avons créé quelque chose de très spécial »
« Je pense que le monde de la musique Heavy va être secoué. Nous avons dépassé nos limites encore un peu plus loin sur cet album ».
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.5/10
Un des problèmes majeurs quand on attend quelque chose, que ce soit de la part d’une personne, d’un film, d’un groupe, c’est qu’on est confronté à la déception. Ça forge forcément un état d’esprit, la frustration (amis de la pédopsychologie, bonjour), mais on pourrait s’en dispenser, passé un certain âge. C’est aussi à ce moment là qu’on se remet en question avec cet axiome « en fait, je n’ai rien à attendre de qui/quoi que ce soit : il faut avancer », que ce soit en temps que donneur ou récepteur. Me voila face à ce cas de figure avec Embers of a dying World, dernier opus d’un de mes groupes phares, Mors Principium Est.
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Le Label Finisterian Dead End est fier de vous annoncer la signature sur son roster des remuants et talentueux Stinky !!
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