Note du SoilChroniqueur (Arno) : 4,5/10
Je suis passé complètement à côté de ce disque. Outre le fait que je m’attendais à un truc bien plus brutal de la part d’Akral Necrosis, passé la déception, j’ai beau faire amende honorable et tenter de trouver quelques points positifs à « Underlight », je sèche.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Annihilator en chiffres avant ce « Triple Threat », c’est 33 ans de carrière, 15 albums, 3 lives, 2 DVDs, quelques compilations, plein de démos et un paquet de singles.
C’est aussi des changements de line up réguliers, et surtout une patte reconnaissable entre mille.
Le heavy/thrash du sieur Waters est rapidement identifiable pour un groupe qui a commencé sa carrière avec un « Alice in Hell » devenu cultissime avec le temps !
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10
Il y a tellement à dire sur les Catalans de Cabaret Aberrante. Déjà, la pochette de ce « Sadismo Post Porno » : il y aurait un palmarès des plus dégueulasses de l’année, elle figurerait en bonne place, à n’en point douter.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
La Suède en Italie, comme c’est intéressant.
Daemoniac, groupe Milanais, est formé en 2013 par l’ex-Horrid Max à la basse et au chant, et très vite rejoint par un autre ex-Horrid à la batterie (Matt) et par Pier aux guitares.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Smashing through the boundaries, lunacy has found me, cannot stop the battery
Pounding out aggression, turns into obsession, cannot kill the battery
Cannot kill the family, battery is found in me
Battery, battery
Et bien non, il ne s’agit pas de ce Battery là : et d’ailleurs, contrairement aux croyances populaires, les cinq Danois n’ont pas pris ce nom en fonction du titre de Metallica !
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 5,5/10
J’ai eu beau faire quelque recherche étymologique, je n’ai pas trouvé d’explications claires à ce remplacement systématique de « of » par « ov ». Cela m’intrigue car Antropomorphia, depuis son album « Rites ov Perversion » (2014), s’en est fait une spécialité, le mettant absolument partout : cinq titres sur neuf dans ce « Sermon ov Wrath ». N’y voyant aucun intérêt autre que celui de faire facilement l’original, il est tout de même regrettable qu’il n’en soit pas de même avec la musique.
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