Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 9/10.
A une époque où le reboot a le vent en poupe – mais non, c’est pas un manque d’idées, c’est une réinterprétation ! – on va s’occuper du cas Witherfall en se posant la fameuse question conditionnelle d’Al Pacino dans l’Associé du Diable : « Et si… »
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10.
Dix ans que l’on attendait ça ! Le retour d’Arkhon Infaustus, formation probablement autant décriée qu’adulée et qui, entre 2001 et 2007, a offert ce que le Black Death Métal peut proposer de mieux lorsqu’il se complait dans l’abject. Aussi, impossible pour moi d’écrire sur « Passing the Nekromanteion », le nouvel EP, sans revenir un instant sur la carrière du groupe. Certes, ces quatre longs titres peuvent être appréciés sans avoir besoin de se référer au passé mais l’occasion est trop belle pour ne pas parler de l’évolution stylistique.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Quand la section rythmique du groupe de doom italien Fangtooth en a marre du tempo pachydermique, ils se mettent à faire dans le black/thrash metal. Et il faut reconnaître que la façon dont Bunker 66 manie la musique en mode speed, non seulement ça ne rigole pas mais ça donne un album plutôt intéressant.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
“Une tradition, ce n’est jamais qu’un progrès qui a réussi”, qu’il disait, l’écrivain, académicien et ancien ministre sous Pompidou Maurice Druon (1918-2009), accessoirement neveu de Joseph Kessel avec qui il composa le fameux Chant des Partisans pendant la seconde guerre mondiale !
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Dans la famille “touche pas à mes eighties”, donnez-moi les portugais de Lyzzärd. Clairement, pour eux, le temps du Heavy Metal s’est arrêté en 1985 : appeler son premier album “Savage” rappelle aussi qu’un groupe légendaire de l’époque porte ce nom.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10.
On commence à bien les connaître les Autrichiens de Belphegor. Depuis 1992 et leurs onze albums, en comptant « Tontenritual », l’auditeur a eu tout le temps de se familiariser avec le Black Death satanique de Helmuth et sa bande. Ne pas connaître le groupe aujourd’hui relève de la surdité et / ou de l’aveuglement tant ils ne lésinent pas sur l’attirail clouté.
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Note du Soilchroniqueur (Forlorn) : 7,5/10.
Du surréaliste Dark Metal Cabaret norvégien ! Oui, j’ai conscience que vous n’aviez sans doute jamais entendu ces mots prononcés dans la même phrase auparavant mais comme quoi tout est possible dans le merveilleux monde de la musique.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10 .
Si on m’avait dit un jour que je chroniquerais pour Soil Chronicles un album dans lequel on parlerait de Duran Duran, Kim Carnes, Simply Red, Level 42 ou Frankie Goes To Hollywood, on me demanderait pourquoi je tiendrais absolument à me faire un best of du Top 50 des années 80…
Dites voir, les brutaux, si je vous dis qu’il s’agit d’un album de covers par Moonlight Desires, la pilule passe mieux ? Onze titres tirés de l’époque 1981-1985 revisités au son du quatuor Canadien, trois ans après leur premier album “Frankie goes to Hamilton”, nous offre un bain tant de fraicheur que de jouvence en nous croisant des standards des années 80 baignés dans une mixture proche des Foo Fighters, Green Day ou autre Blink 182. Et Dieu que c’est rafraichissant !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10.
Être un groupe Italien, appeler son sixième album “Italian History VI”, voilà qui pourrait donner des idées à des Américains pour leur dixième album… Blague à part, Alltheniko, qui tire son nom de la ville Oldenico – province de Vercelli dans le Piémont pour ceux qui veulent parfaire leur culture – nous balance son nouvel album, le troisième chez Pure Steel Records, qui ravira à nouveau les fans de Rage ou de Primal Scream.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10.
Tu vois, mec, dans les groupes de Thrash Metal, tu as ceux qui restent résolument ancrés dans une veine old school sans grande surprise et qui ne les empêchent pas d’être qualitativement très bons et intéressants, mais qui n’innovent rien. Et tu as ceux qui, tout en restant fidèles à un style bien établi, cherchent à innover un brin en incluant des éléments plus modernes dans leur musique. Fateful Finality est indéniablement de la deuxième catégorie !