Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10.
Bien naïvement, je pensais que personne n’oserait s’attaquer à l’Égypte après Nile alors que non ! Bon, déjà, il y a Scarab mais c’est un groupe égyptien alors on peut tolérer, mais quand ce sont des Allemands qui s’y mettent, Maat en l’occurrence, on frémit !
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10
“Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme” (Lavoisier)
Le rap, ce n’est franchement pas mon truc, mais quand c’est avec du Metal, en fusion, je bois ça cul-sec ! Cela devient d’autant plus intéressant quand il s’agit des ex membres de Rage against the Machine qui se sont transformés en Prophets of Rage d’après le principe de Lavoisier combiné au mien, qui dit qu’un musicien de Metal se transforme, non pas en crapaud (enfin, si, peut-être, si vous croyez en la réincarnation) ou en poussière (enfin si peut-être, s’il choisit d’être incinéré post-death) MAIS il se transforme… en un autre musicien. Prophets of Rage est formé de Chuck D de Public Enemy et B-Real de Cypress Hill, complété par DJ Lord de Public Enemy et trois des quatre ex-membres de Rage against the Machine : le guitariste Tom Morello, le bassiste Tim Commerford et le batteur Brad Wilk. Vous voyez, ce n’est qu’une affaire de nom voire de marketing, mais tant que la musique est bonne, on s’en fout !
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8/10
Dani’s back ! Un nouvel opus du Berceau de la Crasse, on reste toujours sceptique. Déjà parce qu’un groupe qui a passé le quart de siècle – remember : The Principle of Evil made Flesh, ça date déjà de 1994 et le groupe naissait trois ans auparavant –, on se demande ce qu’il peut encore avoir à raconter, et leur dernière production, Hammer of the Witches, n’était pas franchement enthousiasmante (http://www.soilchronicles.fr/chroniques … he-witches). Cependant, si le groupe s’est forgé une identité, avec des phases variables, il n’en est pas moins resté intègre à sa ligne de visée, l’horrifique et son ambiance gothique, très souvent inspirée de l’époque victorienne (Arthur Conan Doyle, Oscar Welles, etc.) On reste sur cette trame avec Cryptoriana – The Seductiveness of Decay.
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Le Groupe STINKY , et ses partenaires, Finisterian Dead End , Delete Your Favorite Records, Riot Bike Records et Go Music sont fiers de vous dévoiler le video clip de « Sliders »
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Dix ans de carrière et deuxième album pour les Parisiens de Seide après un remarqué “Here is no Truth” en 2011. Et il faut dire qu’ils ont pris le temps de le peaufiner pour en faire une belle pièce dans le paysage Black Metal hexagonal.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10.
Les revoilà, les trois furieux de Prayers of Sanity ! Pas trop tôt, serait-on tenté de dire !
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9/10 .
« Incidis in Lyssam cupiens vitare Charybdim », déformation d’une citation de l’Alexandréide, Gautier de Châtillon, sur Charybde et Scylla.
Il y a des occasions dans une vie qui ne se refusent pas, qui nous tombent tout cru dans le bec et ne laissent place à aucune contestation. Ainsi, lorsque la possibilité de chroniquer le premier album du groupe Zornheym, groupe suédois dirigé par l’ancien guitariste de Dark Funeral m’échut, j’ai tout de suite cherché à comprendre quelle thématique ce cher monsieur Zorn allait vouloir explorer. La pochette du CD ne laissait place à aucun doute : ce serait (conditionnel oblige) la Folie. Oh ! Que Lyssa m’en garde, j’allais à nouveau explorer son vaste temple de la folie furieuse (nota bene : Lyssa est la déesse de la folie furieuse chez les Grecs).
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.88/10.
Le Requiem est une des pièces liturgiques mises en musique des plus anciennes dont on ait trace (si l’on excepte l’hymne hurien, mais on l’exclura d’office du catholicisme). On dira qu’on tient des sources sures du Moyen Age (voire du chant mozarabe, mais comme on n’est pas certain de tout, donc on se limitera à l’époque médiévale). Faut dire qu’à une époque où on maintenait le pouvoir par l’ignorance et la crainte de l’au-delà, si on vous vendait du bonheur post-mortem, il valait mieux faire un packaging de rigueur pour le rêve d’un Royaume des Cieux accueillant, avec un rituel mortuaire digne de ce folklore. A défaut de vous être fait l’intégrale des Requiem existants, vous connaissez très certainement les teneurs les plus célèbres, dont celle du Dies Irae grégorien qu’on retrouve par exemple de manière très évidente dans le Songe d’une nuit de Sabbat joué aux cuivres dans la Symphonie fantastique de Berlioz, ou le même dans la Danse macabre de Saint-Saens… ou pour les moins intimes avec la musique savante, dans « La fête approche », un des morceaux thématiques de la BO de L’étrange Noël de M. Jack. Tout ça pour dire que cette pièce du rituel catholique romain ne figure pas dans cette Apocalypse [Requiem] d’AkromA, malgré sa structure de Messe des morts en six parties tirée du rituel idoine.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 9/10
Septicflesh, avec ou sans espace entre les deux mots, a l’habitude de nous gratifier d’un chef-d’œuvre pour chacun de leur opus… Pourquoi en serait-il autrement avec Codex Omega ?
Tiens, c’est vrai ça ! Pourquoi ? Parce que je vais être un peu plus mitigé. Évidemment, on entre tout de suite dans la subjectivité et d’autres s’enquerront d’aller l’écouter et de considérer que je suis un sale con pinailleur, et ils auront surement raison, mais je précise que c’est en grand amateur des grecs – je parle de la nationalité du groupe, pas que des sandwiches idoines, même si je n’ai strictement rien contre non plus – que je me permets de faire cette prime remarque. Pourquoi, disais-je donc… A cause d’une « facilité » (le terme est éminemment relatif quand on connait la complexité des morceaux de Septicflesh) peu coutumière dans leur musique… Pire, j’ai eu une impression de « chant du cygne ».
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