Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.5/10
Avec les parisiens et dublinois de Molybaron et leur album éponyme, je viens de trouver ma « madeleine de Proust » de lycéen.
On a tous des doss’ de trucs pas assumés qu’on écoutait… Si, si, même les deux du fond, là, qui se planquent derrière leur main en baissant les yeux. Vu que j’écoute et écoutais de tout et beaucoup, évidemment que chacun d’entre vous y trouvera « de la merde » (proportionnellement, c’est logique et inévitable) et si je vous épargne la liste exhaustive – parce qu’elle serait exhaustive, justement – sorti des deux genres musicaux principaux qui ont forgé mes gouts actuels de symphonic metalhead, on trouvait aussi de la techno hardcore et de nombreuses autres choses dont j’éviterai de vous parler (mais je sur que vous feriez de même pour éviter de vous taper la lose). Cependant, et pour rebondir sur une vidéo de E-penser sur la thématique « c’était mieux avant » et son raisonnement cohérent pour lequel j’abonde – allez y jeter un œil, ainsi qu’aux autres vidéos, qui en valent le coup –, j’écoutais aussi pas mal de Rock 90’s – deuxième moitié des 90’s, hein, me faites pas non plus déjà passer pour un vieux con – dans lequel se trouvaient pêle-mêle les Smashing Pumpkins, Helmet, Silverchair, Skunk Anansie, les Red Hot, les rivaux Muse et Placebo, les fusionneux (RatM, No One, Silmarils, Lofo, Downset, etc.), voire le U2 plus musclé de quand ils ont fait la BO de Batman Forever, ce genre de films de l’époque (comme Spawn) où la BO est davantage digne d’intérêt que le film.
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par Bloodybarbie
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
Qui l’a vu venir, celui là ? En tous cas, voilà une reformation qui fait vraiment plaisir. Hexx, quand même ! Celui de “No Escape” (1984) et de “Under the Spell” (1986), deux bons brûlots de power/thrash metal sortis lorsque des groupes comme Agent Steel ou Overkill n’en étaient qu’à leurs balbutiements…
Formé en 1983, le groupe sort trois démos et les deux albums cités plus haut, avant de prendre un virage plus death metal notamment suite à l’arrivée de Clint Bower (ex-Abscess, ex-The Ravenous) au chant. S’ensuivront deux EP en 1988 (l’implacable “Quest for Sanity”) et en 1990 (“Watery Graves”), puis un album, “Morbid Reality” (1991), avant de splitter en 1995.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10 .
Pour une raison assez obscure, j’ai toujours eu un petit chkrouchfougnou (1) pour la scène sud-américaine. Là, pour le coup, on a affaire à un groupe aussi obscur que mes raisons, qui nous sort un album de thrash metal old school qui fleure bon le bon vieux Sodom de “Obsessed by Cruelty” mais également le côté Sepultura de “Morbid Visions”. Avec la production typiquement d’il y a trente ans en prime, on a la sensation que l’Amérique du Sud s’est arrêtée en 1984 en matière de Thrash, Black ou Death Metal.
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Chaque mois, un petit récapitulatif des albums chroniqués, des interviews réalisées, des photos et reports publiés, sera proposé :
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
Putride… Des fois, un simple mot peut suffire à décrire ce qu’on entend ! Pour le genre de musique pratiqué, c’est plutôt flatteur.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Lorsqu’on nous parle de la Turquie, on ne pense pas forcément à ses groupes de Black Metal de prime abord. Certes, la scène metal y est bien implantée mais si Encyclopedia Metallum y recense plus de 400 groupes, en donner cinq noms de but en blanc relève quand même de l’exploit.
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 6.5/10
Trouver un groupe estampillé NF sur les bancs de la team Nuclear Blast (via les filiales Arising Empire et Sharptone), on ne peut pas ne pas en parler, à défaut de simplement l’évoquer. C’est pas que les places soient chères mais… Si, en fait, elles sont chères. Faut-il pour autant être chauviniste pour parler des Novelists ? Allez, on met Noir dans la playlist et on appuie sur « enter ».
Alors, nos romanciers lutéciens méritent-ils le Goncourt ? A mon sens, non… Le prix des lecteurs, certainement mais… Explication.
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