Note du SoilChroniqueur (Christopher) : 8/10.
C’est vraiment un truc de malade, le Death Metal Finlandais ! Entre Purtenance, Demigod, Adramelech, Sentenced et j’en passe et des meilleurs, voici Korpsesoturi, jeune groupe prometteur qui nous sort le premier EP qui, à la base, a été édité en cassette avec 4 titres, puis réédité en CD avec un bonus de quatre chansons démos.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10.
Logo à la Dead Congregation, pochette typique de la mouvance, nom à la limite (voire au-delà) de la caricature, il n’y a aucun doute à avoir : Crypts of Despair joue du Death Métal. Ni meilleur ni pire que des milliers d’autres formations évoluant dans ce registre, les Lituaniens s’en sortent suffisamment honorablement sur leur premier album « The Stench of the Earth » pour avoir décroché un contrat avec Testimony Records après une première sortie en juin en tant qu’indépendant.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10.
Le truc le moins évident lorsque tu reçois le skeud d’un groupe qui s’appelle Oblivion, c’est de trouver duquel il s’agit. Je vous invite à faire une rapide recherche, bien malin celui qui saura deviner du premier coup.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
C’est l’histoire d’un coup de cœur ! Tu vas tranquillement à un concert et un ami t’invite chez lui pour te faire part d’un groupe qu’il aime et qui sort son premier album sous peu. Et là, dès les premières notes, tu te dis “merde, mais c’est bon ça !” en rajoutant un “putain” des familles qui sort droit du cœur ! Un cri du cœur pour un vrai coup de cœur ! Et tu te rappelles d’il y a 25 années de ça, quand tu kiffais (à une époque où le mot ‘kiffer’ n’existait pas encore) des groupes de rock indépendants tels Ride ou The Stone Roses, à peu près à l’époque où The God Machine te foutait sur le cul (et t’y fout toujours quand tu le réécoutes) avec son “Scenes of the second Storey” (1992), où les rythmes du batteur de The young Gods t’ont scotché lorsque tu écoutais, où certaines dissonances de My bloody Valentine ou de Lush te collaient des frissons oscillant entre le plaisir et le malaise. Merde, à l’écoute de ces groupes, tu sentais qu’il se passait quelque chose en ton for intérieur !
Ixion est un projet de doom métal atmosphérique que j’ai initié voici un peu plus de 10 ans maintenant. Nous avons rapidement travaillé en duo (avec Thomas) puis en trio (avec l’arrivée de Yannick), et pour le dernier album en duo à nouveau, mais avec Yannick et moi-même. A ce jour nous avons sorti une démo et trois albums.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 9/10.
Un bon petit coup de beat dans les oreilles, ça vous tente ?… Ne dites rien : je sais que vous avez tous répondu « oui ». Aussi va-t-on présentement parler du cas Last Avenue et leur premier album Identity.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10.
Enfin ! Sept ans après leur dernier album “Perfume and Piss”, les légendes du Punk Metal Charged G.B.H., maintenant G.B.H. tout court, reviennent avec un nouvel album sous le bras.
Note du SoilChroniqueur (Christopher) : 8,5/10.
Ça faisait longtemps que je n’avais plus écouté du Power Metal, et du coup j’ai appris que Eternal Flight sortait un nouvel album intitulé “Retrofuture” (d’ailleurs encore un grand merci à Chris de m’avoir laissé faire cette chronique, qui me tenait beaucoup à cœur). Donc nous sommes 6 ans après le bon “Diminished Reality, Elegies and Mysteries”.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10.
Suite aux deux premiers albums, « Aosoth » (2008) et « Ashes of Angels » (2009), j’avais complètement arrêté de suivre la carrière des Français d’Aosoth. Il faut dire que je trouvais la musique de BST et MkM bien en-dessous de leurs groupes précédents respectifs (notamment Antaeus pour ce dernier), la formation ne m’apparaissant dès lors plus comme indispensable.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10.
Il est des groupes qui fleurent bon l’amour du Heavy Metal, le guerrier, celui avec des chœurs virils et des riffs taillés à la hache. Des groupes de petits jeunes qui étaient à peine nés à la sortie des “Sign of the Hammer” ou “Hail to England” (Manowar), des “Port Royal” ou “Death or Glory” (Running Wild), voire des premiers Grave Digger ou Blind Guardian.
Silver Wind fait partie de ces nostalgiques qui ont très bien écouté ces glorieux anciens dont certains continuent de nous sortir de bons albums : dire que ce “Legion of the Exiled” en est un parfait hommage serait exagéré.