Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10.
Avant même d’évoquer cette réédition largement améliorée de Symposium of Rebirth, troisième album des Français d’Agressor, je crois qu’il serait bon de commencer par rendre un hommage sincère à tous les groupes qui ont fait que la scène hexagonale a aujourd’hui la qualité que l’on connaît, tous les groupes qui ont essuyé les plâtres, tous les groupes qui jouissent à présent d’une reconnaissance à rebours mais qui, à l’époque, ont dû supporter le dénigrement d’être des pionniers dans leur pays et devant batailler ferme pour être reconnus à l’étranger, la lutte étant alors bien plus dure pour un groupe français que pour des Américains, des Anglais, des Allemands ou des Suédois par exemple.
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8,5/10.
Eisregen, Eisregen… Connais pas, c’est allemand ? Oui, surement. Je suis grave à la bourre dans mes chroniques. Tiens ! Et si j’appelais ma sœur qui vit en Allemagne. Elle pourrait m’aider !
Chaque mois, un petit récapitulatif des albums chroniqués, des interviews réalisées, des photos et reports publiés, sera proposé :
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Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8/10.
Deux ans après leur premier album éponyme, Deiquisitor nous jette au visage son second jet d’acide, Downfall of the Apostate, sous le label Dark Descent Records.
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 7/10.
Ah, Madame de Bovary… Ce bon vieux roman de notre Flaubert national n’a jamais été autant d’actualité. Pour les non-initiés, le roman raconte l’histoire d’Emma Bovary, qui rêve, comme beaucoup, d’une vie trépidante et d’aventures et qui, comme beaucoup (encore), se retrouve mariée avec un homme qui ne lui veut que du bien mais qu’elle finit par ne plus aimer, avoir une fille qu’elle ne désirait pas puisqu’elle voulait un garçon, puis qui finit par se laisser aller au désir, à la débauche, jusqu’à l’épuisement des ressources pécuniaires et personnelles, la conduisant au suicide. Quoi de plus judicieux que de faire refleurir les romans du passé, les faire se réincarner dans la souffrance actuelle ?
Note du SoilChroniqueur (Kenpachi) : 8.5/10.
Les Belges de Maudlin n’en sont pas à leur premier opus. Effectivement, après deux premières sorties concoctées par leurs soins (Solitary Echo en 2004 et Ionesco en 2008), ils ont fini par travailler avec Consouling Sounds pour donner naissance à A Sign of Time en 2013 et dernièrement à Sassuma Arnaa en ce mois de mars.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10.
L’histoire discographique des Colombiens d’Orgullo Nativo a de quoi interpeler : l’EP Filosofia de un demente en 2014 suivi d’un album du même nom deux ans plus tard, qui n’est que l’EP avec six “Sesión” entre chaque morceau, numérotées de un à six et qui ne sont autres que des intros parlées. Soit !
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Secret Society est le projet d’un certain Telum Ignotum, dont la seule chose que l’on sait est qu’il est suédois et qu’il s’occupe de tous les instruments mais qu’il ne chante pas.
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8,5/10.
Quantum Hierarchy est un groupe de Death Metal lombard formé en 2014 par Stefano Malgaretti, bassiste dans Hellish God.
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 7,5/10.
Après 3 albums, Sulphur Skies, Mask of the Treacherous et Edge of the Abyss parus respectivement en 2013, 2015 et 2016, Johansson & Speckmann sortent le petit dernier Fron the Mouth of Madness sous le label Soul Seller Records.