Note du SoilChroniqueur (Arno) : 9,5/10.
OK, Mike Scheidt a failli crever. Et de là, on va être enclin à trouver ce Our raw Heart merveilleux, à lui passer tous ses défauts, à dire que c’est le disque d’un homme qui a frôlé la mort et qui en est revenu plus lucide et inspiré que jamais.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10.
Deux albums la même année, autant sortir un double mais non, Between the Buried and me a opté pour deux parutions distinctes. Et une nouvelle fois, ce groupe reste l’exception qui confirme la règle : le Métalcore m’insupporte, sauf lorsque c’est eux qui le pratiquent.
Interviewer : Willhelm von Graffenberg
Interviewé : Julien Truchan
Photos : Metalfreak (Hellfest 2018)
Note du SoilChroniqueur (Lusaimoi) : 8/10
Quand on connait un peu Domino, on sait que c’est un mec qui se fout des modes, des apparences et de l’avis général. Lorsqu’il aime un truc, il aime, et peu importe s’il est le seul ou que c’est mal vu dans le milieu. Il n’aime pas ? C’est pareil, et même si la chose en question est censée être culte. C’est peut-être pour ça que sa musique semble être en dehors du temps.
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Note du SoilChroniqueur (Celtikwar) : 9/10.
Un peu de mélodies dans ce monde de brutes épaisses. Lizzy Borden est un groupe de Heavy Metal Californien exerçant depuis les années quatre-vingt avec un premier album ‘Love You To Pieces‘ (1985) indispensable pour tout fan de Glam qui se respecte. Le Celtikwar a découvert cette formation de haut niveau lors du Hellfest 2012, premier concert hexagonal, il aura fallu longtemps !!!
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8.5/10.
Oui, je sais que ça fait un moment que ce petit bijoux « made in France » a vu le jour mais c’est tellement du lourd que la digestion fut longue.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10.
C’est vrai que lorsqu’un groupe est là depuis plus de trois décennies, il n’a vraisemblablement plus grand-chose de neuf à proposer. Je n’attends donc pas de Candlemass qu’il se mette à expérimenter à outrance et parte sur des plans étranges mais c’est en revanche beaucoup plus rare de rester aussi longtemps à un tel niveau de qualité.
Live report : Willhelm von Graffenberg, Chris Metalfreak & Bloodybarbie
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
Pour en bouffer quand même par camions entiers, des albums de Thrash Metal, on devient tout doucement de plus en plus sélectif au point de ne vraiment vouloir parler que de ce qui retient le plus notre attention. Parce que parfois, les copier-coller et le copier-coller de copier-coller, aussi bien faits soient ils, ça peut tout doucement lasser.
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9,5/10.
« Un ange maladroit qui se casse la figure alors qu’il se penchait pour observer l’humanité. Il en meurt du coup, et devient autre chose ». Voilà pour le nom de ce groupe de Turin, les Dying awkward Angel, littéralement « ange maladroit mourant ». Ça fait vingt ans cette année que ce Paolo Villaggio de l’au-delà, le Pierre Richard génois, est venu se casser la margoulette malgré ses ailes sur la péninsule italique, puisque le groupe se forme en 1998 sous l’impulsion d’Edoardo Demuro.