Photos : Metalfreak
Retour en images sur la troisième et dernière journée caniculaire du Sylak version 2018.
Au programme : Bloodstorm, Voice Of Ruin, Broken Teeth, Rotten Sound, Carnifex, Terror, Municipal Waste, Dezad Kennedys, Sepultura et Alestorm.
Un zappage volontaire dû à la chaleur sur Eight Sins (remplaçants de dernière minute de Mantar) histoire de se réhydrater.
Bref : 28 groupes shootés, 8 litres / jour d’eau bues, très peu mangé, très peu dormi, mais plein de souvenirs tant dans l’appareil photo que dans la tête.
Grand bravo et merci pour cette réussite et rendez-vous en 2019 !
A Nordic Symphony – Tarja + Stratovarius + Serpentyne (Seyssinet-Pariset, ...
par Metalfreak
Photos : Chris Besse
Une fois n’est pas coutume, notre Metalfreak n’a pas pu être présent ce soir là pour rédiger un report et prendre quelques clichés d’une soirée en forme de symphonie Nordique.
Aussi notre ami Chris Besse a eu la gentillesse de nous fournir quelques clichés pour immortaliser cette pure soirée sold out.
C’est par ici : merci à l’équipe de Metallian Productions, RPO et à la disponibilité de Chris Besse.
Primal Fear + Riot V + Existance (Seyssinet-Pariset, l’Ilyade, 04 octobre ...
par Metalfreak
Photos + report : Metalfreak
Metallian Productions et RPO nous ont une nouvelle fois organisé une soirée 100% metal avec des groupes de qualité.
La veste à patche, le bracelet clouté et tout l’attirail du fan de heavy old school était de rigueur…
Tu m’étonnes : Existance, Riot V et Primal Fear, il y avait de quoi exciter le plus difficile des metalleux et, même si on ne peut pas dire que la salle était complètement remplie, c’est quand même 150 personnes qui se sont réunies un jeudi soir, score honnête sans être exceptionnel.
Photos : Metalfreak
C’est bien beau de parler des groupes sur scène, mais tout autour, le Sylak, c’est aussi une ambiance de feu, une chaleur à crever, du délire de partout, des slams incessants, une sécurité adorable, des amis photographes et festivaliers qu’il est bon de (re)voir.
Retour en images sur une ambiance aussi (f)estival(e) que bon enfant pour ce millésime 2018 sold out, et ce n’est que mérité…
Et encore une fois : MERCI !!!!
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 9/10.
« Lune qui, là-haut, s’allume (…) Bel astre solitaire qui meurt quand revient le jour, entends monter vers toi le chant de la terre… » Et là vous vous dites : « Mais pourquoi nous cite-t-il les paroles d’un morceau de Notre Dame de Paris ? » D’autant pour parler d’Æthra, dernier album de Gorod : mais qu’est-ce que ça peut bien avoir à voir avec le sujet ? Tout ? Rien ?… Bah, le sujet, thématique, pardi !
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
Plus de trente ans de carrière pour la formation teutone qui ne semble pas avoir envie de prendre une ride depuis le retour de sa superbe en 2011 avec l’excellent Branded, et qui semble se maintenir depuis dans une grande forme.
Note du SoilChroniqueur (Le Reverend) : 9/10.
Un split est toujours un exercice compliqué, soit un groupe écrase l’autre, soit histoire de faire attendre entre deux albums les labels sortent du fin fond des tiroirs des bandes pas toujours au top… Les vraies collaborations sont plutôt rares, même si le milieu musical qui nous concerne là, sludge, post-metal et compagnie, est enclin à le faire !
Humanity delete/Carnal Garden – Anthems of Doom/Lethal Onslaught ...
par Bloodybarbie
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8 /10.
Humanity Delete est l’un des projets solitaires du Suédois Rogga Johansson.
Difficile de rater cet hyper actif car on le retrouve seul ou accompagné dans Dead Sun, Echelon, Eye of Purgatory, Down Among The Dead Men, Johansson & Speckmann, Grisly…
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Pas une coïncidence, mais pas loin… Lors d’une bourse aux vinyles et aux CD le mois dernier, je me retrouve à racheter en CD le Nothing to fear (1987) des Chicagoans de Wrath, album que je n’avais jusqu’alors qu’en 33 tours.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Pendant la dernière Coupe du monde, on en a entendu parler, de “la chatte à D.D.”, pour qu’au final on retrouve le maillot des Bleus avec une deuxième étoile. Ah ça oui, il était verni, le D.D., capable avec son équipe de faire les scores parfaits avec une technique de jeu bien axée sur la défense et attaquer en contre, nous proposant du déjà vu, bien convenu tout comme il faut, mais sachant faire preuve d’une efficacité redoutable.