Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10.
Les plus anciens d’entre nous se rappelleront surement de la baffe qu’on a pu se prendre lorsque le Malleus Maleficarum (1988) de Pestilence est sorti, petite bombe de Death Metal technique qui laissait présager un bel avenir au groupe batave qui ne nous a finalement jamais déçu (du moins avant leur split), surtout avec le quasi parfait Consuming Impulse (1989) ou les Testimony of the Ancient (1991) et Spheres (1993)…

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10.
Battre le fer tant qu’il est encore chaud… En peu de temps d’intervalle, je me retrouve avec deux albums de Weapon UK réédités en vinyles et dont les mp3 parviennent dans ma boite mail.

Photos + report : Metalfreak

Les soirées à thèmes de chez Brin de Zinc sont toujours un succès : ce 28 octobre, c’est une spéciale « drôle d’oiseaux » à laquelle on a eu droit.
Et dans le genre, on en a vu, des plumes.

Photos : Antirouille
Report : Antirouille + Spare Ribs
 
Metallian Productions nous proposait l’Ilyade en guise de ring ce samedi soir pour un combat où tous les coups allaient être permis. Direction donc Seyssinet-Pariset (38) pour une affiche qui nous proposait ni plus ni moins un aller simple pour un tabassage dans les règles de l’art.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9.5/10.
« La musique est la prière des païens. »

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10.
On ne s’en rend pas forcément compte mais Sigh est là depuis 1990, année de sortie de leur toute première démo, Desolation, et même s’il faut attendre 1993 pour que le premier album paraisse (Scorn Defeat), les Japonais font clairement partie des groupes pionniers du Black Métal et ont toujours eu un style bien à eux.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 10/10.
Le Death Metal est une religion et, comme pour toute religion, un dieu est nécessaire pour ses fidèles. Là, en l’occurrence, il s’agit d’une religion polythéiste car nous avons plusieurs dieux qui se partagent cet Olympe du Metal extrême. Master en est l’un d’eux.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Complices à la scène comme dans la vie, le couple Orianthi/Richie Sambora sort aujourd’hui son premier album full length qui n’est en fait que l’addition de leurs deux EP sortis l’an dernier (Rise et Making History) agrémentés de deux inédits. Et ceux qui pensaient qu’on allait avoir droit à du Bon Jovi-bis de la part des deux guitaristes en seront pour leur frais.

Interviewé : Raphael (batteur)

Interviewer: Sebastien Normand & Antirouille

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10.
Le chauvinisme est une chose merveilleuse. J’avais déjà deux ou trois écoutes de An illusive Progress dans les oreilles et j’en étais à ce moment où l’on constate que l’on n’apprendra rien de plus que ce que l’on a déjà compris au cours des dix titres, à savoir que Dysmorphic navigue dans les eaux d’Obscura, Beyond Creation, Gorod, Psycroptic et autre Decrepit Birth (en quand même moins brutal concernant ce dernier).