Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
En septembre dernier, j’avais déjà parlé de cette formation finlandaise de Speed Metal emmenée par la délicieuse Emma Grönqvist au chant, les deux guitaristes Tommi et Mikko également présents dans le groupe de Black/Thrash Metal Demon’s Gate ainsi que la section rythmique composée de Joel (batterie) et Sebastian Bergman (basse), également bassiste chez Decaying (Death Metal) et Steel Machine (Heavy/Speed Metal).
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Dans la série “il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis”, je crois que je viens de me découvrir une intelligence que j’ignorais… Lors de la chronique de l’album de Zombie Lake (The Dawn of Horror en 2017, chroniqué ici : http://www.soilchronicles.fr/chroniques … -of-horror), j’affirmais que Protector m’avait toujours un peu ennuyé au fur et à mesure des écoutes des albums, de par son riffing et que le chant de Martin Missy me donnait une sensation que la musique avait quelque chose de poussif.
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Note du SoilChroniqueur (Le Révérend) : 8,5/10.
Troisième album pour les discrets Bordelais d’Endless Floods, en quatre ans d’existence, c’est pas mal.
A cause de la personnalité d’un de ses membres, Stéphane Miollan, bassiste chez Monarch, le trio – depuis devenu quatuor avec l’ajout d’une seconde guitare avec Jérôme Alban de Year of no Light – est souvent comparé à ce groupe emblématique de la scène bordelaise.
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 6/10.
Dying Embers est le projet solo de Jürgen Schurz qui officie en tant que guitariste dans le groupe Unhallowed sous le pseudo de « Bloothirst« . Unhallowed est du « Melodic Death Black Metal » et notre artiste s’est dit qu’il allait faire un truc solo avec un batteur et un bassiste de session, respectivement Thomas Leitner et Stefan Traunmüller et qu’il allait faire uniquement du Death mélodique en laissant de côté la partie black.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6/10.
La Finlande m’avait habitué à mieux, notamment en matière de Doom même si, ici, on sait qu’il sera mélodique. Ce n’est pourtant pas un élément d’habitude rédhibitoire, cf. les toujours très bons disques de Katatonia, mais c’est juste que l’ennui profond n’est jamais très éloigné de chacune des compositions de When a Shadow is forced into the Light, dernier album en date de Swallow the Sun.
Note du chroniqueur (Gibet) : 9,5/10.
« La vierge voilée de Strazza émerge du vide, teinte aux couleurs de la mélancolie et du rêve. Les yeux fermés, attendant Dieu, emprisonnée dans la douceur de son voile transparent, elle ne pense à rien. Tranquille, elle profite. Le silence… » semble nous dire cette (vraiment) magnifique pochette de Luca Pierro.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10.
Ce début d’année marquait le retour de Malevolent Creation après quatre ans de silence suite à Dead Man’s Path (2015) de plutôt bonne facture. Suite au décès en 2018 de Brett Hoffmann, victime d’un cancer, il a fallu lui trouver un remplaçant et c’est Lee Wollenschlaeger à qui revient cette lourde tâche.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10.
Chronologie rapide des faits. 1 : écouter vite fait le dernier album de Misery Index et le trouver pas terrible. 2 : voir le groupe sur scène le 4 avril au Glazart en compagnie des excellentissimes Wormrot et rester soufflé par leur prestation dantesque. 3 : réécouter Rituals of Power pour bien sûr me rendre compte qu’il est en fait mortel et que ma première impression peut être balancée aussi sec aux chiottes.