Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10.
Comme cela est annoncé sur leur site officiel, les Allemands de Darkened Nocturm Slaughtercult pratiquent donc du Pure Fucking Black Metal. De toute façon, compte tenu de l’esthétique de la formation (photos, logo, pochette), il aurait été de toute façon difficile de se méprendre quant au contenu de Mardom, sixième album d’une discographie qui commence à être conséquente.
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 7/10
« Le mariage est un duo ou un duel. » (Émile Augier)
Ding dong ! Nianianianiania jusqu’à ce que la mort vous sépare ? « OUI » répondirent-ils en enregistrant ce split.
[Partie avant chronique pleine de joie]
Youhoooooooooou ! Alors là les amis, on tient du très très lourd ! Arrêtez tout ! Délaissez femmes et enfants, chiens ou hamsters, ne finissez pas votre assiette chez tata Geneviève et tant pis si son célèbre gratin dauphinois va refroidir ! Je le dis et je clame haut et fort : on tient là du méga lourd ! Le genre de CD qui n’arrive qu’une fois dans une vie tellement l’affiche est prometteuse ! La truculence incarnée qui va déferler sur vous comme un tsunami du Pacifique ! Et d’ailleurs, on n’est pas très loin des tsunamis.
Lire l'article
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10
Pourquoi être plusieurs quand on peut mener à bien (ou à mal, parce que le bien est une insulte dans le vocabulaire du Black Metal, pour bien caricaturer). En 2004 naît le projet d’un homme, Thomas Eriksen, multi-instrumentiste talentueux qui a trouvé sa voie (et voix) dans le Black Metal. On lui compte deux EP et trois albums à ce jour.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8,5/10.
Actifs depuis 2008, les Bavarois Public Grave publient rapidement une démo de cinq titres l’année suivante. Trois années s’écouleront pour voir éditer une seconde de quatre titres et dire que nos Allemands ne sont pas pressés est peu dire puisqu’il faudra de nouveau attendre quatre ans pour qu’enfin soit exposé au grand jour… un titre !
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
“Mon Dieu ! C’est plein d’étoiles !” (Dr. Dave Bowman, “2001 l’odyssée de l’espace”)
A Thessalonique, en Grèce, il y a aussi des personnes fascinées par la voute céleste, à l’instar des Suisses de Darkspace ou d’Astral Silence, des Australiens de Midnight Odyssey ou des internationaux de Battle Dagorath.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
“Rock rock rock”, émettait-il comme bruit en c-rock-ant sa carotte…
‘Hééé, quoi d’neuf, Rocker ?”, rajoutait-il avec un air d’une assurance insolente !
Entre Bunny, ici dans une version Dead Bones un rien oryctolagus cuniling… euh… cuniculus, et plus déjanté qu’un Elmer fou de bite, il ne manque qu’une reprise de la danse des canards pour voir Daffy rappliquer ! De quoi faire fantasmer plus d’un zoophile également fan de l’œuvre de Hugh Hefner qui n’aura eu de cesse dans une carrière plus qu’honorable de montrer son petit lapin à bien des mâles appréciant de sortir lapine qu’ils ont derrière leur braguette !
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
Bon, OK, il est sorti il y a cinq mois de ça, cet album (chronique rédigée le 8 avril 2019) et généralement, on publie rarement des chroniques d’albums sortis il y a aussi longtemps… Mais quelques fois, il est bon de se faire une séance de rattrapage sur une pépite qu’on n’aurait pas reçu dans les temps, surtout quand la qualité est là !
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8.5/10
« Si l’Église condamne la magie et la sorcellerie, c’est qu’elles militent contre les intentions de Dieu, qu’elles suppriment le travail du temps. » (Charles Baudelaire) [Cela faisait longtemps que je voulais mettre une citation de ce grand poète, me voilà satisfait !]
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Berkaïal) : 8 /10
Les fans de Lovecraft auront facilement reconnu la source d’inspiration de ce groupe conceptuel basé à Perth (Australie), qui relaie fièrement la parole de Père Dagon et Mère Hydra depuis 2014. Dunwich est le troisième opus de ces multi-instrumentistes de talent. Ils délivrent un Doom lourd, l’ambiance est impeccablement sombre et, comme diraient les fans de Black Metal qui adorent reprendre les expressions du Maître, méphitique à souhait.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Après un bref passage en indépendant, Blurr Thrower voit son premier EP Les avatars du vide directement promu par Les acteurs de l’ombre. Comme nous savons que ces derniers se trompent rarement, pour ne pas dire jamais, quant à la qualité des formations qu’ils signent, on est légitimement amené à penser que ce nouveau groupe français de Black Métal atmosphérique a de sérieux arguments à faire valoir. Et il suffit d’une seule écoute pour en être convaincu, les suivantes ne faisant que renforcer cette première très bonne impression.
Lire l'article