Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

Voici le premier album des Niçois de Balls Out, quatuor formé en 2016 et fort d’un EP de six titres Too big to handle en 2016. Et une chose est sûre, les gaillards s’y connaissent en bon vieux hard rock qui sent la sueur, l’huile de vidange et le whisky !
Ici, on parle d’influences assumées à chercher chez AC/DC, Motörhead, Rose Tattoo, Airbourne voire The Stooges.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Encore une fois, dire que la France fourmille de petits groupes de hard rock particulièrement remarquables n’a rien d’exagéré !
Avec les sorties coup sur coup de Loaded Gun, Balls Out et, ici, Charge, il y a de quoi faire, surtout lorsque la qualité est au rendez-vous.

Note du chroniqueur (Gibet) : 8/10

Un ciel noir, quelques étoiles éparses émergent d’un brouillard gris, une bruine épaisse qui laisse cracher quelques gouttes d’une eau terriblement froide. Vous êtes sur une barque, accompagné d’un guide barbu, aux traits marqués par la vieillesse, une sorte de Charon, vêtu de guenille et à la voix rauque. Il s’appuie sur son bateau et vous sentez au sein de vos entrailles comme un nœud, des cordes tressées s’entremêlent dans votre ventre.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) :9/10 

Imagine un monde où se répand un virus qui transforme des humains en mort-vivants. Une sorte de peste qui tue nos semblables et qui les font muter en macchabées qui veulent nous bouffer la tronche. Même l’armée n’y arrive plus, débordée par cet afflux massif de zombis affamés de chair humaine.
Comment va-t-on faire, bordel, pour se débarrasser de cette infâme vermine puante ?
Les Ohio Slamboys sont le dernier recours, les deux gars sont entraînés pour.
Leur méthode?  »Just Explode The Head With Anything You Find”.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Am I evil ?

Si pour de nombreux metalleux, Diamond Head est le groupe de qui Metallica a fait cette reprise. Il n’empêche qu’en 1976, le groupe du désormais seul membre original Brian Tatler (guitares) a été un des précurseurs de la NWBHM avec coup sur coup Lightning to the nations (1980), l’incontournable Borrowed time (1982) et Canterbury (1983).
En 1985, le groupe splitte une première fois pour se reformer en 1991 avec notamment Karl Wilcox à la batterie, qui fait toujours partie du line up : un album Death and progress verra le jour avant que le groupe ne resplitte l’année suivante…

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10

Avec deux anciens membres de Cerebral Fix (le chanteur Al Osta et le guitariste Steve Watson), on se doute bien que le Death Métalpratiqué par Ravens Creed ne va pas transpirer la finesse.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9/10

« L’oubli est une grâce » Julien Green

Parfois, cela peut arriver qu’un CD passe à l’as. D’ailleurs, cette expression nous vient des dés à jouer où l’As est la valeur la plus faible. Ainsi, ce qui passe à l’as est donc sans intérêt, voire insignifiant. On délaisse donc ce qu’on a choisi de passer à l’as. C’est un peu le lot de tout webzine qui reçoit beaucoup de CDs. Il arrive que certains soient mis involontairement de côté, jamais totalement oubliés pour autant. Ainsi, comme sorti magiquement du chapeau, voici que m’échut le CD Together du groupe The Red Barons. Et la métaphore de la magie n’est pas choisi au hasard, vous allez voir.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

Autant être franc de suite, si tu recherches de la nouveauté, de l’originalité et de la haute technique, passe à la chronique suivante.
BitchHammer, qui porte aussi un nom de groupe aussi prévisible que les pseudos des musiciens, nous colle une musique old school qui, elle non plus, ne fera pas dans l’innovation.

Plus loin encore, l’esprit des Hellhammer / Celtic Frost, old-Sodom, Venom, Bulldözer, Darkthrone, Aura Noir ou Desaster plane tout au long des 38 minutes, réparties sur neuf titres aussi rapides que blasphématoires, aussi crus que remplis d’une haine hautement perceptible.

Photos + Report : Antirouille

Allez, c’est reparti, direction une fois de plus Barberaz (73) pour franchir de nouveau les portes de la mythique salle du Brin de Zinc.
Les plus grosses baffes ont été reçues entre ces quatre murs et c’est toujours avec une certaine excitation que je m’y rends le plus souvent possible. Sado-maso en manque de baffes et excité de s’en prendre une ?
Mouais, pas le temps de reformuler tout ça.

Photos + Report : Antirouille
 
Nonsense, Buy Jupiter et Titans Fall Harder, voilà le plateau que vous aviez découvert au Jack Jack si vous étiez allés du côté de Bron le 08 février dernier. Nonsense dévoilait ce jour-ci et en en avant-première son nouvel EP Away From Black Days (chroniqué ici)
Ce 27 avril, on prend les même et on recommence en ajoutant toutefois les grenoblois d’Anna, pour l’avant-première de l’album de Titans Fall Harder, Heavy Lies This Life (chroniqué ici), et c’est à L’Ilyade de Seyssinet-Pariset qu’il fallait être ce soir-là pour un show garanti pur tabassage dans les règles.