Note du SoilChroniqueur (Arno) : 10/10
Auteurs de deux albums monstrueux en 2006 et 2013, les Américains de Guttural Secrete reviennent enfin à la charge avec certes uniquement un single mais qui ouvre grand les portes à une prochaine nouvelle sortie.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : What the Fuck/10
Comme j’arrive plus d’un mois après la bataille, j’imagine que vous avez déjà tous pu lire les différentes chroniques parues sur d’autres webzines, certes moins bons, mais qui ont tous repris en chœur le pedigree impressionnant des musiciens qui composent Equipoise. Je ne vais donc pas perdre de temps sur ce sujet, qui occuperait pourtant facilement la moitié de ma chronique, pour foncer directement à l’essentiel.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Premier EP pour le Suédois après deux démos sans doute confidentielles mais qui lui valent une signature chez Battlesk’rs Productions, cela suffit pour avoir envie d’écouter.
Au programme, outre une superbe pochette, un Black Métal agressif, sans fioritures, joué dans le pur style 90’s bien loin des tendances parfois trop mélodiques du pays natal de l’homme-orchestre Btsm.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
J’avoue qu’en dépit de ses grandes qualités musicales, je suis resté assez éloigné de la discographie de 1349, étant resté sur l’aliénation mentale Revelations of the Black Flame (2009) qui laissait présager une orientation plus expérimentale au regard du précédent et excellent Hellfire (2005).
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar):8/10
Voilà qui m’a l’air fort appétissant… Encore plus alléchant que l’odeur des frites et que le doux fumet du waterzoï, c’est bien entendu cet EP de King’s Rage: I need all the Time, première publication du groupe belge qui vous donne bien envie d’en avoir plus à se mettre sous la dent que ces quatre titres d’excellente facture.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Pouvais-je décemment ignorer un groupe dans lequel sévit le légendaire Kam Lee ? Bien sûr que non et c’est donc l’objet de cette brève : porter à votre connaissance le quatrième album de The Grotesquery : The Lupine Anathema, dans lequel nous retrouvons également à la guitare l’incontournable Rogga Johansson, l’homme aux mille formations. Ce n’est pas compliqué, si tu veux jouer du Death et qu’il te manque un guitariste, Rogga répare, Rogga remplace et foutra des impacts à ta musique bien plus gros qu’une pièce de deux euros.
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À l’occasion du Cernunnos, votre serviteur, Ström, a interviewé quelques groupes français dans cette première partie des mini-interviews.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 7.5/10
Je n’avais pas été gentil avec Asylum Pyre lors de notre précédente rencontre scripturale, à la sortie de leur troisième album, Spirited away, en fin 2015 (cf. chronique ici). En même temps, depuis quand honnêteté et franchise rimeraient avec gentillesse ? Et puis si les groupes nous envoient leur colis pour la promo gentille, ils se trompent : on chronique, positivement ou négativement, et de manière éminemment subjective. Bref, j’avais trouvé non seulement cet album fade mais l’avais aussi ressenti et interprété comme racoleur, surfant sur la notoriété de Miyazaki et son chef-d’œuvre Le Voyage de Chihiro (Spirited away donc, en anglais) pour en faire une mauvaise BO bis réinterprétée elle aussi ; j’avais donc mis le feu non pas à une petite sorcière nommée Kiki mais à l’interprète vocale de cet album, « Chaos Heidi ». Aujourd’hui me voici de nouveau face à eux, avec un quatrième album intelligemment intitulé… N°4 !
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Note du SoilChroniqueur (Antirouille) :10/10
Originaire de Rouen, Ataraxie se forme en 2000. S’enchaîneront deux démos, trois splits, une compilation et trois albums, Slow transcending Agony, Anhédonie et L’Être et la nausée, sortis respectivement en 2005, 2008 et 2013. Si ce dernier était déjà bien abouti, Résignés, paru ce début mars, atteint des sommets. Pas très conventionnel de dévoiler la conclusion dès l’introduction, mais avec cet album, le conventionnel, on va l’oublier.
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