Grand Master Krang + Merge And Burst + Way Too Long (Angers, Joker’s Pub, ...
par Metalfreak
Photos + Report : Furyo Fvr
Dans le cadre de Angers Like Metal organisé par l’association CROM (Site officiel) , le groupe Way Too Long avait la lourde tâche de commencer cette soirée qui se déroulait au Joker’s Pub, endroit bien connu des angevins.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
L’absolutisme, ou pouvoir absolu, est un type de régime politique où « le détenteur d’une puissance attachée à sa personne, concentrant en ses mains tous les pouvoirs, gouverne sans aucun contrôle ».
Et si le pouvoir absolu, en musique, était l’essence même du speed metal, du black et du punk réparti en une seule entité ?
Note du SoilChroniqueur (Jaymz) : 8/10
Après un « Mankind » très réussi en 2017, les Allemands de Fateful Finality reviennent très en forme en ce début d’automne avec cet Executor, qui propose une paire de directs dans les gencives en 7 morceaux et 38 minutes chrono.
Fidèle à ce style qu’ils affectionnent tant et que je qualifierai de Modern Thrash Metal, les Allemands font partie de ce mouvement revival du Thrash des années 80, à l’instar des Américains d’Havok et des finlandais de Lost Society. Sur ce nouvel opus, je trouve qu’ils ont évolué vers un style plus groovy, style Pantera, voire Lamb of God, sans oublier leurs racines Testament/Slayer.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10
Les Français de Hangman’s Chair ont beau avoir plus de dix ans d’existence et cinq albums à leur actif, tous très appréciés bien au-delà de la simple sphère Metal habituelle, l’EP Bus de nuit est tout de même mon premier contact audio avec la formation.
N’étant donc pas connaisseur de leur discographie, je déduis néanmoins rapidement que ces quatre titres se découpent ainsi : deux nouvelles compositions (« Lost Brothel » ; « Sleeping on the Ground ») et deux anciennes remixées pour l’occasion (« Negative Male Child » ; « Minuit »).
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
C’est complètement con mais le nom du groupe a toujours eu sur moi un impact négatif. Je pensais (à tort, bien entendu, mais certaines pochettes n’aident pas non plus, comme celle de The Supreme Force of Eternity), que Runemagick était une espèce de formation Heavy Metal traitant d’Heroïc Fantasy, ce qui me faisait décamper aussi sec.
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Note du SoilChroniqueur (Le Réverend) : 9/10
Les Hollandais de The Fifth Alliance font partie des groupes difficiles à mettre dans une case.
À la racine hardcore du quintette, s’ajoute Sludge, Post-Metal, Black Metal, Noise… Cela fait beaucoup de hashtags à mettre en bas de page et pourrait, en lisant ainsi l’énumération des genres, sembler fouillis, fourre-tout.
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 5/10
Un groupe tout droit venu du Yorkshire autrefois appelé Allusondrugs jusqu’en 2016 , le groupe décide histoire de faire moins provoc’, et afin de cibler un public plus large, de s’appeler maintenant Allusinlove. Si le nom fait moins dur, qu’en est-il de la musique ?
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Prolifique !
C’est le mot qui vient de suite à l’esprit quand on parle de Paganizer et de son leader Rogga Johansson. Pensez donc : en 21 ans d’existence, le groupe en est déjà à son onzième full length, auxquels on peut ajouter autant de splits et pas moins de six EP. On passera sous silence les quelques singles et autres compilations qui ne rajouteront rien au schmilblick !
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
Putain, Konkhra… Encore un groupe que j’avais adoré dans les années 90 tellement son Death Metal était lourd, massif, puissant et que j’avais totalement perdu de vue après Weed out the Weak, un disque en demi-teinte qui a du mal à trouver son public.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Les adorateurs des tons pastels, de l’easy listening, qui aiment la fraîcheur, la lumière et les petites fleurs… vous pouvez passer à la chronique suivante. Ici, on va parler de noirceur, d’ambiances oppressantes, d’atmosphères sombres : Reido nous offre, pour son troisième full length après “F:\all” (2006) et “-11” (2011), cet “Anātman” qui n’est ni plus ni moins que la bande son d’un désespoir qui nous pousse aux tréfonds de ténèbres on ne peut plus opaques, que nulle lueur ne semble pouvoir pénétrer !
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