Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 5/10

Voici passer un OVNI.

Ne cherchez pas, Celtikwar n’a pas pété un nouveau câble. Mais aujourd’hui on passe dans un autre univers. Il est vrai que ce n’est sans doute pas le meilleur placé pour parler de Funk et Hip/Hop… Du coup ne prenez pas mal ou bien la note, la moyenne c’est histoire d’en donner une qui ne fasse pas péjoratif. En même temps s’il devait en donner une, n’étant pas dans son milieu, elle serait moins bonne, mais passons sur cette avancée en terrain hostile.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10

Lorsque je tombe sur des groupes de la trempe de Xoth et que je m’apperçois que leurs deux albums (« Invasion of the Tentacube » et donc ce « Interdimensional Invocations») ne sont signés sur aucun label, les questions que je me pose sont systématiquement les mêmes : est-ce une volonté des musiciens ? Ces derniers sont-ils trop gourmands ou tout simplement désintéressés ? Les labels ont-ils les oreilles bouchées ou considèrent-ils que l’investissement se serait pas viable ?

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

On va passer très rapidement sur la brouille qui oppose les deux frangins Robinson, au point que ça a fait capoter les excellent The Black Crowes, mais il faut reconnaitre que le nouveau groupe du Rich, épaulé par deux comparses de son ancien groupe (Marc Ford et Sven Pipien), en est la digne suite.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10

Il serait sans doute un peu vain de ma part que d’essayer d’apporter quoi que ce soit de nouveau à « Cruelty and the Beast », troisième album de Cradle of Filth, officiellement sorti en 1998 mais réédité en ce mois de novembre par Music For Nations. Aussi vais-je me contenter, d’une, de porter à votre connaissance cette réédition et, de deux, de dire qu’à l’époque où le disque est sorti, j’étais vraiment dingue du Black Symphonique des Anglais, que je n’ai d’ailleurs plus du tout écouté par la suite.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Et si un groupe reussissait l’incommensurable exploit de composer la bande son de tes pires cauchemars, ce serait indéniablement les Costa Riciens de Dusk !

“Threnody” est la troisième sortie du groupe après l’EP “Eko” (2016) et le full length “Epoka” (2018 )et en moins d’une demi-heure, il arrive à nous confronter à nos pires phobies par cette musique fortement déshumanisée à l’ambiance aussi glauque que glaciale qui nous transperce au plus profond de nos angoisses.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

On ne va pas en faire des tonnes sur ce nouveau groupe de death metal venu tout droit de Galice. Les Ibères ont formé leur combo en 2016 et sortent leur premier EP trois titres, comme des tonnes de groupes l’ont fait avant eux. Certes…

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

Déjà dix ans d’existence pour les thrashers américains d’Exmortus, cet EP était quant à moi mon premier contact audio. Les fans, s’il y en a, me diront peut-être que « Legions of the Undead » n’est pas la meilleure façon de prendre connaissance, il reste que, pour moi, deux compositions originales et trois reprises de thèmes de films archi connus, ça me suffira pour me faire une idée et envie d’en entendre plus.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10

Pour moi, Profanatica, c’est typiquement le genre de groupes pour lesquels il n’y a rien de dire de plus que « un nouveau disque est sorti, si vous aimez ces Américains blasphémateurs achetez-le et si vous n’aimez pas le Black Death Métal dans ce qu’il a de plus rudimentaire, ne l’achetez pas ».

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10

Monstrueux !

Si un mot, un seul, devait résumer ce premier full length des Ibères de Qayin Regis, c’est bien celui-là ! En quatre titres d’une moyenne de dix minutes, le trio madrilène aux pseudos improbables (histoire de garder un mystère sur l’identité des musiciens) nous colle une veritable leçon de laideur et de noirceur pour un vomi (pardon, un rendu) qui frôle la beauté absolue !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

L’air de rien, Opposition Party nous assène des compos entre hardcore / punk et thrash metal depuis plus de 33 ans : avec une discographie qui ne compte certes qu’un seul album (“Zombified” en 2005) mais toute une chiée d’EP – six avant celui là -, deux demos, trois splits (“The underground scene” avec Stompin’ Ground et Necromancide en 1995, “Rupture vs Opposition Party” en 2010 et “Some kinda…” avec The Bollocks en 2014) et deux compilations, sans parler de quelques apparitions sur des compilations, le groupe de Singapour vient régulièrement nous abreuver de ses riffs brutaux, nous prouvant par là même qu’Impiety n’a pas le monopole de la violence musicale dans le pays !