Note du SoilChroniqueur (Antirouille): 7/10

Originaire de Finlande, Lordi est plus connu pour son titre « Hard Rock Hallelujah » que pour sa (trop) longue carrière discographique.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 6,5/10

J’en attendais beaucoup… trop peut-être !

S.D.I. fait partie de ces groupes de speed / thrash metal allemand un rien punkisant qui ont égayé mon adolescence avec trois albums sortis presque coup sur coup.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10

L’EP “First step towards supremacy” avait été une superbe surprise en 2016 et je clôturais ma chronique par un espoir : “Kosmokrator frappe très fort avec ce premier EP et il tarde déjà de voir ce qu’ils sont capables de nous produire sur un album full length.”

Et bien, comment dire… on voit ! Ou plutôt, on entend ! Depuis ? Un live, sorti en mai dernier uniquement en digital et en cassette sur laquelle il convient de se rencarder. Entre temps, un changement de guitariste et de batteur, et les revoilà avec ce premier full length.

Note du SoilChroniqueur (STRÖM) : 7/10

Connaissez-vous Bergen ? Probablement, en tout cas si vous avez une connaissance « Trivial Pursuit© » du Metal, au minimum. Kaldvard nous vient de cette ville, ce qui en soi pourrait être un gage de qualité, mais ne serait rien sans la volonté de nous proposer un projet musical digne de ce nom.
Ces Norvégiens nous offrent donc un album de Black Metal à la fois fidèle à la seconde vague et néanmoins empreint d’une identité propre et assez marquée. Le groupe en est à son second effort et les choses se précisent, pour notre plus grand plaisir.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10

En 2018, alors que je parcourais les habituels tops de fin d’année, j’avais souvent vu revenir le premier album de Ploughshare, « In Offal, Salvation ». Je ne l’ai toujours pas écouté mais la sortie de l’EP « Tellurian Insurgency » me donne une bonne occasion de me rattraper, d’autant que je suis rarement déçu par les formations australiennes.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10

Régulièrement, on se retrouve à chroniquer des albums avec pour seul point commun un bourreau du travail : le belge Olmo « Déhà » Lipani !

Avec un CV à faire palir de jalousie un sénateur multi-mandaté – qui, eux, se sentent exonérés de toute charge fiscale –, voyez plutôt : Acathexis, COAG, Cult of Erinyes, Déhà, God Eat God, God Enslavement, Lebenssucht, Maladie, Merda Mundi, Slow, Sorta Magora, The Penitent, Vaer, We All Die (Laughing), Yhdarl, Ignifer, ex-Black Sin, ex-Deviant Messiah, ex-Sources of I, ex-Ter Ziele, Aardling, Aurora Borealis, Detrvire, Lidden, Nadddir, ex-Clouds, ex-DunkelNacht, ex-Ithilien, ex-K.F.R, ex-Deos, ex-Wunde, ex-Alenda, ex-AutoDestructionNeeded, ex-Eat Their Crusts, ex-GigaPenzor, ex-Jah El Camino, ex-Khel, ex-NØD, sans parler de plus d’une vingtaine de fois où il apparait en guest sur un album. A se demander quand il prend le temps de dormir…

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10

Après deux Singles et deux EP, les Américains de Servants of the Mist sortent enfin leur premier album, et putain c’est costaud. Car si le genre a été défriché depuis longtemps et les codes établis de longue date, les sept compositions de « Healing Process » écrasent tout avec leur mélange de Sludge et de Doom.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Le concentré de haine et d’occultisme du moment nous vient de Bulgarie, où le quintette de Burgas sort son deuxième album “Epistēmē” cinq années après un “Liberation funeral” qui avait déjà secoué sévèrement bien des esprits aussi torturés que maléfiques ! Elevés au biberon de la scène des pays de l’Est, Dimholt nous sort l’album qu’aurait pu écrire Behemoth avant son virage plus black / death à partir de “Thelema.6” (2000).

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10

Les Japonais d’Invictus ont mis cinq ans à sortir leur premier album « Catacombs of Fear » mais ça valait la peine d’entendre car, comme souvent avec les formations de ce pays, c’est du haut niveau, avec une technique et une folie particulières.

Photos : Metalfreak
Report : Antirouille

Première sortie de l’année pour moi et c’est au Brin de Zinc de Barberaz (Chambéry) que je rejoins notre monstre d’acier (NdMetalfreak : mmmmh ?) et son appareil toujours en alerte (l’appareil photo, bien sûr). Ce soir, je ne suis pas derrière l’objectif et c’est mieux comme ça, car ce soir c’est du black metal qui va faire trembler les murs de la petite salle savoyarde et qui dit black metal dit forcément black au niveau des lumières aussi et à ce petit jeu, laissons faire ceux qui maîtrisent ce genre de situation.