Note du SoilChroniqueur (M.L.A.M.) : 7/10
Voici donc un produit intéressant que nous offre le groupe français : il vient donc de rééditer les démos qui avaient été enregistrées entre 1986 et 1989. Pour rappel le groupe avait proposé l’année dernière une réédition fort sympathique de son troisième album sous le nom de « Rebirth », elle contenait tout un tas de bonus bien intéressants aussi.
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Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 7.5/10
« La preuve que la Lune est habitée, c’est qu’il y a de la lumière. » Francis Blanche
Comme je ne sais pas quoi écrire en introduction de cette chronique, ce qui représente un événement rarissime, je vous pose une citation du film Watchmen qui résume à peu près la valeur symbolique d’une introduction dans une chronique metal et rock. Attention top !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Alors eux, ils m’énervent ! Bon, ok, je reçois quelques albums de Fastball Music pour chroniques. Parmi ceux-ci, le nouvel EP d’un groupe suisse dont je n’avais jamais entendu parler.
Soit ! Un tour sur leur page Facebook et, parmi les groupes desquels ils s’influencent : Arch Enemy, In Flames, Five Finger Death Punch, Children of Boddom, Evanescence, Nightwish, Metallica, etc.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
Dans la mouvance de Belphegor, du Behemoth début années 2000, voire d’un Dark Funeral pour la rapidité constante, voici venir de Suisse Impalement et son premier album, « The Impalement ». Bon, j’espère que les références données n’ont pas fait fuir trop de monde car même si je ne suis pas un grand amateur de ce type de Black lorgnant sur le Death, je dois néanmoins reconnaître de nombreuses qualités aux sept compositions de Beliath, l’homme derrière tout cela.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Six ans après leur premier album « Ascent from Hell« , voilà le retour du quatuor avec ce nouvel album « Rats and ravens« .
En six ans, beaucoup de choses changent, à commencer par le line up : c’est bien simple, le batteur Paul Bostaph (Hail !, ex-Slayer, ex-Forbidden Evil, ex-Exodus, ex-Testament, ex-Forbidden, ex-BlackGates, ex-Systematic, ex-Truth About Seafood) et le bassiste Damien Sisson (Death Angel, Nullsake, Potential Threat, ex-Scarecrow) sont partis, remplacés respectivement par Stephen Goodwin (Aaron Pearson, ex-Vicious Rumors) et Wes Anderson (ex-S.O.S.A., ex-Blind Illusion, ex-Yigael’s Wall), la guitare lead étant toujours tenue par Steve Smyth (One Machine, The Esseness Project, Sweet Leaf, ex-Dragonlord, ex-Testament, ex-Vicious Rumors, ex-Forbidden, ex-Nevermore, ex-Ariah, ex-Firehead) et les guitares rythmiques ainsi que le chant par George Anderson (ex-Down Factor).
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Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8/10
« L’Homme, c’est la seule espèce animale qui puisse concevoir l’idée de sa disparition et la seule que cette idée désespère. Quelle race étrange : si acharnée à se détruire et si acharnée à se conserver. » Robert Merle
Parmi les nombreuses curiosités qui jalonnent le metal, il y en a une que je n’ai jamais vraiment réussi à comprendre, non dans le sens de l’acceptation mais dans son sens propre : le black death metal. Autant je peux concevoir et intégrer que l’on fasse des mélanges loufoques, et depuis un moment ce genre de mélanges improbables abondent de plus en plus, comme une volonté de se démarquer aussi viscérale qu’étrange. Mais cette dénomination « black death metal » est une notion que je n’ai jamais vraiment saisie. Comment peut-on mélanger d’une part deux types de sons totalement différents, que ce soit dans les accordages ou dans le spectre sonore, et d’autre part en tenant compte de la rivalité historique qu’il y a entre les deux styles ? J’en viens depuis longtemps à me dire que c’est une ineptie, ou alors qu’il y a deux styles qui, au lieu de se mélanger, cohabitent selon les souhaits du groupe qui en parle. Prenons l’exemple du groupe qui est porté aux nues depuis des années dans ce genre bizarre : Belphegor. Quand j’écoute des albums comme « Walpurgis Rites – Hexenwahn » (que j’adore) ou « Bondage Goat Zombie« , je ne me suis jamais dit qu’il y avait un style de metal, mais j’ai toujours vu deux différents qui alternent selon les riffs. De même que la notion de « blackened death metal » m’échappe encore plus… Bon, tout cela pour dire que je vais aborder ce genre qui s’enfuit de ma compréhension pour le groupe suivant : Sodomisery. Et que je reste assez incertain du résultat.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10
Je ne pense pas qu’il soit nécessaire de présenter plus cela Green Carnation, formation norvégienne du début des années 2000 comptant notamment dans ses rangs Tchort (ancien Emperor, Satyricon ou Blood Red Throne), qui a vraisemblablement un jour décidé que sa guitare devrait exprimer un peu de la tendresse qu’il a en lui.
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Note du SoilChroniqueur (Jaymz) : 6,5/10
Gomorra, c’est le projet d’un certain Damir Eskic, fondé en 1994 (!). Projet qui a porté plusieurs noms avant de retenir celui de Gomorra. Pour ceux qui suivent l’actualité du Metal, ce guitariste méconnu a pourtant été recruté par les légendaires Destruction pour leur dernier opus « Born to Perish » et surtout la tournée qui a suivi. Il est donc bien entendu présent sur le live récemment sorti des vétérans du Thrash « Born to Thrash » (sortie digitale le 08 mai 2020, la version physique arrivera mi juillet).
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Le coup de folie du moment avec l’agressivité qui va avec nous vient tout droit de Calagry (Canada) et autant le dire de suite : ça ne rigole pas !
Hyperia, quintet formé en 2018 et déjà fort d’un EP trois titres (“Fish creek frenzy”) en 2019, nous propose son premier album “Insanitorium”, dix titres furieusement thrash pour 42 minutes dévastatrices, avec notamment les trois titres de l’EP.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
« Les falaises de marbre » (2015) est probablement l’un des albums de Black Metal que j’ai le plus écouté ces dernières années. Il contient des passages, vocaux notamment, qui m’emportent systématiquement (« Les fiancées sont froides », « Le soleil et l’acier »), les textes, en français, sont superbes, j’y retrouvais un peu de la superbe d’Anorexia Nervosa, l’hystérie symphonique en moins. J’étais donc très impatient de me régaler avec « Ultime éclat », troisième sortie de la formation parisienne (la première étant « 1944 » en 2012.)
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