Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
C’est sûr, nous, pauvres francophones, on arrivera mieux à retenir – et surtout à écrire – les initiales des membres de Death Is Death que leurs noms complets et c’est sûrement la raison pour laquelle ils les ont pris comme nom de scène : Death Is Death, trio finlandais composé du chanteur / guitariste Teppo « TH » Haapasalo (ex-Chorea, ex-Purity, ex-Sancta, ex-Timo Rautiainen & Trio Niskalaukaus, ex-Death Is Liberty, ex-Estado Novo, ex-Penis Surprise), du bassiste Eero « EV » Vehniäinen (Deadlight, ex-Death Is Liberty) et du batteur Eetu « EP » Pakkanen (ex-Death Is Liberty) est fondé en 2018 et sort son deuxième album après le déjà dévastateur « Death Wears Suit » de 2019.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10
La seule raison valable que je vois à aller écouter « The Mire« , troisième album des Norvégiens de Deception, c’est d’être totalement et irrémédiablement en manque de death mélodique. Comme je suis moi-même assez peu friand de ce genre, je ne suis par conséquent pas la meilleure personne pour parler de ces dix compositions mais j’y vois cependant un certain nombre d’atouts.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
Premier argument en faveur du fait d’écouter « In the Days of Whore » de Zaratus : la pochette est absolument sublime.
Deuxième argument : la formation est grecque et j’ai l’impression qu’il y a actuellement dans ce pays un renouveau du black metal, à l’image de l’excellentissime Faidra (« Six Voices Inside« , 2020).bl
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
“In a different time, religion’s the same
The witch hunt is on as God’s evil reigns” (Onslaught, “Witch hunt”, 1985)
Quand Dead Center Productions a envoyé les mp3 de ce groupe dans la boite mail de Soil Chronicles, la simple lecture de la bio a suffi à me convaincre de jeter de suite une oreille à Witch Hunt !
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(Metalfreak)
Ok, c’est chiant de retourner au taf le lundi après un week end sympa.
Allez, viens te consoler un peu avec quelques vidéos : avec Black Stone Cherry, Cannibal Corpse, Danko Jones, Je T’Aime, Deficiency (studio report), Lustmord & Karin Park, Motorjesus, Animal House, Retched, Dirty Black Summer, Somnuri, Ice War, Wednesday 13, Fear Factory, Black Orchid Empire, Feanor, False Memories, Icon Of Sin et Bodom After Midnight.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Amoureux du bizarre, voici les Russes de Isgherurd Morth avec leur premier album « Hellrduk« . Si Res, le guitariste, et Pitom, le bassiste-chanteur, ne me disent rien, il n’en est pas de même pour le batteur Ghoul. En effet ce dernier est passé chez Sadist, Spheric Universe Experience, Benighted, Agressor, Imperial Sodomy ou encore Belëf (la liste est encore longue), ce qui garantit déjà au trio une solide assise rythmique.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Et de quatre !
C’est désormais tout seul comme un grand que Nekrotizer continue à déverser sa bile anti-chrétienne avec des lyrics sur le satanisme, la profanation et le blasphème !
On évitera de parler de ses anciens groupes et on va se consacrer uniquement à Thy Rites qui revient sur les racines d’un black / thrash metal des mid eighties à la façon d’un Sodom époque “In the sign of evil”, Bulldozer de “The day of wrath”, les incontournables Hellhammer, le Venom du début, Tormentor ou les plus récents Midnight, Power From Hell, Diabolic Force avec un petit côté old-Bathory pas dégueulasse !
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
De ce que j’ai pu en lire, Forhist est l’hommage de Vindsval au black metal norvégien des années 90. Partant de là, il est aisé d’en déduire que les expérimentations de Blut Aus Nord devraient être laissées au vestiaire, de même que les aspects symphoniques des « Memoria Vetusta » par exemple.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
Tu le sens venir le truc totalement underground ? A l’origine édité uniquement en cassette par Transylvanian Tapes puis en CD chez le belliqueux label Godz ov War Productions, l’EP « Strange Customs » des Américains de Cult Graves atterrit aujourd’hui dans mes frêles tympans.
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Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9/10
« Ma carrière n’a démarré qu’à 50 ans. C’est en France que j’ai d’abord connu le succès. Mon meilleur souvenir, ce sont mes trois Olympia ; la salle bondée et enthousiaste, en juin 1993. Et puis la Légion d’honneur remise par le président Chirac. Cette double reconnaissance du public et des autorités françaises, c’était comme une consécration. » Cesária Évora
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