Note du SoilChroniqueur (Yaiba) : 9/10

Il m’aura fallu du temps pour chroniquer cet album. En effet, après l’avoir récupéré pour cette chronique, j’avoue que ce n’était pas simple de retranscrire l’ambiance et l’atmosphère de cet album, et même du groupe en général. Mais après m’être fait la main sur d’autres sorties, il est enfin temps de me pencher sur ce projet et de vous offrir une analyse que j’espère à la hauteur. J’espère également qu’elle vous donnera envie de découvrir cette formation unique.

Note du SoilChroniqueur (Ti-Rickou) : 5 picks/5

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En course pour l’album de l’année. Voilà un album que j’attendais avec impatience. J’ai découvert The Mercury Riots, un groupe de Los Angeles, en live. A l’époque, leur disque n’était pas encore sorti mais ils en avaient joué des morceaux et j’avais pris une énorme baffe. La question du jour est : est-ce que je vais être déçu ou cet album va-t-il tenir toutes ses promesses ?

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9/10

« Quand l’esprit est attiré par une feuille, l’œil ne voit pas l’arbre. Quand l’esprit est attiré par l’arbre, l’œil ne voit pas la forêt. Ne pas s’attacher aux détails mais voir l’ensemble sans vraiment regarder. Voilà le secret… c’est ça « voir« . » Takehiko Inoué

L’histoire de Time Lurker est manifestement basée sur un préambule familial puisque selon Metal Archives, le nom du groupe est une sorte d’hommage au groupe français Catacomb, jouant du death metal et venant de Toulon, où officiaient l’oncle et la tante du dénommé Mick, initialement seul maître à bord du projet.

Note du SoilChroniqueur (Mike Edward Teach) : 8/10

FOR THOSE ABOUT TO ROCK, ARE YOU READY ?!!!! Prêts, il faudra l’être pour recevoir cette énorme baffe de la part de ce groupe Allemand et de leur septième album. Après trois ans d’absence, ils reviennent et on peut dire que ce n’est pas pour faire de la figuration.

Note du SoilChroniqueur (Fast Freddy) : 9/10

« Prude » est le cinquième opus de Drug Church, combo originaire d’Albany, état de New-York qui donne dans le post punk, post hardcore depuis leurs débuts. Autant vous dire que lorsque cette nouvelle galette est apparue dans la liste des chroniques à effectuer ce mois-ci, je n’ai pas tardé à m’en saisir, restant sur l’excellente impression qui était la mienne avec « Hygiène », album dont vous trouverez la chronique effectuée deux ans plus tôt dans les liens ci-dessous et qui m’avait fait plonger pleinement dans l’univers musical du groupe sans m’en faire ressortir indemne !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

Question du jour : que fait Rogga Johansson lorsqu’il n’enregistre pas un album de death metal avec l’un de ses innombrables groupes ? Facile : il enregistre un album de heavy metal ! Et tant qu’à faire, autant y aller avec quelques musiciens qui ont également des CV exponentiellement grands.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Ce qu’il y a de formidable, chez certains labels pour peu qu’on reste un amoureux de tout ce qui est heavy metal old school, c’est qu’on sait d’avance qu’on va, au pire, juste apprécier ce qu’on entend.
Steel Shark Records est de ceux là : fidèlement ancré dans le heavy, voire speed metal des mid eighties, on sait d’avance que les albums proposés feront partie de cette famille.
Et on ne s’y trompe pas : comme nouvelle signature sur le label Chambérien, voici le quintet de Midnight Race, qui nous vient tout droit de Quito en Equateur.
Tout au long de mes activités de chroniqueur, je n’ai jamais tari d’éloges vis-à-vis de la scène Sud Américaine qui visiblement reste ancrée dans cette période faste.
Midnight Race est de ceux là !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

On l’a compris depuis longtemps, Pascal “Raskal”, boss de Steel Shark Records, est un amoureux inconditionnel du heavy metal d’il y a quarante ans : il faut dire qu’on n’a pas eu de décennie aussi riche culturellement et surtout musicalement que depuis les eighties, pour preuve le nombre de revivals de cette époque qu’on retrouve périodiquement.
Ca a d’ailleurs été l’occasion de quelques très belles discussions pendant les concerts avec tout un tas d’artistes ou de fans lors de concerts.

Note de la SoilChroniqueuse (Musta) : 7/10

L’Islande, ce pays majestueux qui fait rêver plus d’un de par ses aurores boréales légendaires, ses longs hivers sombres et ses célèbres soleils de minuit… Ce pays au nord de l’Europe fascine et c’est dans ce splendide lieu qu’est né en 1995 le groupe dont nous allons parler aujourd’hui : Sólstafir.

Note du SoilChroniqueur (Fast Freddy) : 8/10

On dit, ou on entend souvent dire, qu’avec le temps, on s’assagit ! Visiblement, ce genre d’adage n’est pas arrivé jusqu’aux oreilles de Wolfbrigade qui est tout, sauf une image d’Epinal pour appuyer cette maxime ! Voilà quasiment trois décennies que les Suédois, dont le combo s’appelait Wolfpack à ses débuts, déversent toute leur rage sans fléchir ou concéder le moindre centimètre sur le terrain de la violence musicale à l’état pur !