Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10

Nocturnal Wanderer est comparé à Rotting Christ et Arckanum, c’est vraiment exagéré car on est loin de la grandiloquence du premier et de la profondeur du second mais voilà, ce qui semble être un one man band américain débarque avec son premier album « Gift of the Night » et il semble jouir d’une certaine mansuétude.

Bon, on regarde la pochette, et qu’est-ce qu’on se dit ? Que c’est un chouette album ? (Retrouvez-moi en ouverture d’Anne Roumanoff sur sa prochaine tournée). En vrai, je suis un peu dur avec ce début de chronique caustique car ces six titres sont quand même pas mal branlés, même si je leur trouve un petit côté Immortal, et si le type est vraiment tout seul il se démerde bien sur tous les postes, tant instrumentaux que vocaux, l’organe étant rauque comme on l’aime.

Après, je l’ai déjà dit sur tous les tons pour des centaines d’autres groupes : c’est de la troisième division, donc réservé à un public bien spécifique qui n’écoute que du 100% underground. Mais si c’est ça votre came, il y a une petite pièce à mettre sur Nocturnal Wanderer qui tire plutôt bien son épingle du jeu avec des morceaux accrocheurs.
A suivre ?

Tracklist :

1. Twilight Befell
2. Darkness in Rapture
3. Sentient Shadows
4. By Moonlight
5. Distant Stars in Distant Skies
6. The Amberdawn

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