Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 4.5/10
« D’où tu vas ?! » est l’interjection qui m’est venue passée l’écoute des 4 premières pistes d’A Kingdom to disappear de Pyogenesis.
Oui, ça n’a pas de sens… Mais à cause de cette panne des sens, je me suis retrouvé en rade non pas dans un bar (pas de blagues zoophiles, s’il vous plait), mais au carrefour, non pas la grande surface mais le croisement des divers chemins qui s’offraient à moi : essayer de comprendre ou opter pour la sage philosophie de leur morceau d’ouverture « Sleep is good », la procrastination, et m’en remettre au lendemain car « la nuit porte conseil ». Et ça, c’est vite dit – même s’il faut le prononcer rapidement, mais « ça », c’est vite dit quand même… et essayez de faire de même avec « Obersturmführer » ou « acide acétylsalicylique » !
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 9/10
On pourrait en parler des heures… Ou pas.
Danko Jones, c’est de l’excellent depuis tout le temps. Le guitariste-chanteur canadien nous bombarde de morceaux de Hard Rock directs et efficaces depuis ‘Born a Lion’ en 2002. Avec le quatrième opus ‘Never too loud’ en 2008, il se fait un nom en Europe mais c’est surtout avec le disque suivant ‘Bellow the Belt’ en 2010 que Danko Jones se placera en tête d’affiche des grands fests.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 9/10
Une bonne dose de Heavy Metal en-veux-tu-en-voilà !
S’il y a bien un domaine nouveau dans l’univers du Heavy Metal, c’est l’Heroic Fantasy. Quoi de mieux pour cette musique forte que la chevalerie avec des épées pour remplacer les guitares, quel animal mythique autre que le Dragon ne peut mieux représenter la puissance ?
Heureusement que Bloodbound y a pensé…
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.5/10
Un des problèmes majeurs quand on attend quelque chose, que ce soit de la part d’une personne, d’un film, d’un groupe, c’est qu’on est confronté à la déception. Ça forge forcément un état d’esprit, la frustration (amis de la pédopsychologie, bonjour), mais on pourrait s’en dispenser, passé un certain âge. C’est aussi à ce moment là qu’on se remet en question avec cet axiome « en fait, je n’ai rien à attendre de qui/quoi que ce soit : il faut avancer », que ce soit en temps que donneur ou récepteur. Me voila face à ce cas de figure avec Embers of a dying World, dernier opus d’un de mes groupes phares, Mors Principium Est.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Enfin il revient !
Troisième album du projet solo d’Herman Frank après « Loyal to none » (2009) et « Right in the Guts » (2012) et une fois de plus une belle réussite.
Et ce n’est pas le changement de la section rythmique qui y changera quoi que ce soit : Peter Pilch continuant de secouer ses quatre cordes chez Victory et Yargos est remplacé par Michael Müller (Jaded Heart), le batteur Michael Wolpers restant lui aussi chez Victory pour laisser la place à André Hilgers (Silent Force, ex-Rage, ex-Axxis, ex-Sinner, ex-Vanize et j’en passe).
En plus, le groupe est passé à la formule de quatuor, le second guitariste Christos Mamalitsidis (Victory… décidément) étant aussi parti. Entre temps, Herman Franck, s’il reste toujours chez Panzer, Poison Sun et Victory, est parti une nouvelle fois d’Accept dans l’intervalle.
Mais à l’écoute de ce nouvel album, il faut croire que ça n’a en rien entaché sa motivation pour nous refourguer une nouvel album de metal typiquement teuton, aux riffs ultra carrés et à l’énergie bien réelle.
Note de la SoilChroniqueuse (Excalibur) : 5,5/10
Vous l’avez sûrement remarqué, l’année 2016 aura été un beau bordel dans pas mal de domaines…
Et, dans la vie du groupe Leaves Eyes, 2016 aura été une année de putain d’énorme bordel… On se croirait presque dans une des sagas nordiques auxquelles ils adorent se référer dans leurs morceaux…
Résumons un brin les choses…
Pour Leaves Eyes, tout a commencé en 2003. Liv aime Alexander. Alexander aime Liv. Liv a une voix de sirène. Alexander a un groupe de métal avec des copains (Atrocity). Ils se marient et en plus ils fondent un nouveau groupe, Leaves Eyes, donc, avec les copains d’ Atrocity, et Liv en chanteuse, évidemment… Jusqu’ici tout va bien. Le groupe tourne à fond pendant 12 ans. Ils enchainent les albums avec un talent et un succès qui vont de paire.
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 9.5/10
Ce sont des petits cachottiers chez AFM… On est davantage habitués à ce qu’ils nous servent – en général – bon Power Metal, mais quand ils vont creuser d’autres filons, ils nous présentent leurs pépites. Et tant qu’à faire, en voici une que ce A quiet World de Words of Farewell.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
C’est qu’ils ont quand même réussi à nous faire peur, les Nightmare.
A l’été 2015, les frères Amore (David le batteur et Jo le chanteur) s’en vont en claquant la porte… Les éternelles dissensions internes… qui ne regardent qu’eux.
Bref, les rumeurs les plus folles commençaient à fleurir sur les réseaux sociaux : comment Nightmare allait-il survivre à un tel tremblement de terre ?
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.5/10
Un groupe qui porte à la fois le nom d’un vilain (mineur, certes, mais quand même) présent dans l’univers DC et celui de Marvel, mais également le surnom de celui qui fut présumé être le frère jumeau de Louis XIV emprisonné à la Bastille (parce que, comme pour le Highlander, « il ne peut en rester qu’un »), forcément, ça va attiser ma curiosité. Mais c’est surtout en lisant dans la fiche de présentation l’étiquette « Power Metal » que mon envie d’en savoir plus va se mettre en marche. C’est parti donc pour les 75 minutes de Diabolica, 6ème album d’Iron Mask.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 8/10
« He is back, the Man behind the Mask«
Voici un groupe qui nous a fait connaitre l’Eurovision ! Il faut dire qu’avant le « Hard Rock Hallelujah« , beaucoup d’amateurs de bonne musique n’avaient pas l’idée de ce qu’était ce concours de chant entre pays européens. Il aura fallu attendre 2006 (cela fait quand même dix ans) pour que tous les ans ont ait une pensée pour ces monstres finlandais qui ont réussit à amener de la bonne musique dans un concours qui frise souvent le ridicule.
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