Note du SoilChroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8/10
Préparez-vous à entrer dans l’arène – et pas la reine, même s’il arrive qu’on bourre l’arène dans le sud quand on Bourg-la-Reine dans le centre – revêtez vos plus beaux oripeaux, dégainez votre muleta et vos banderilles, Mezcla et son Death Metal teinté de flamenco entre en piste avec son 4ème album, Metalmorfosis.
Les auxerrois – oui, attention : ne pas confondre avec le groupe rouennais de même patronyme, mais qui joue dans un tout autre genre – ont cette particularité de, bien que n’étant pas d’une région influencée par la culture ibérique, proposer des morceaux – quasi – totalement en espagnol (on excepte sur cet album un titre, « L’usurpateur »).
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Pour parler un peu de Jim Younger’s Spirit, je vais devoir abuser de la largesse d’esprit du Webzine et annoncer la couleur d’entrée : ce n’est pas du Métal, encore moins du Hard-Rock. Juste du Rock, comme on en fait quasiment plus, c’est-à-dire traînant sa nonchalance sur les traces d’un Jefferson Airplane qui aurait pris froid dans les vents Coldwavedes années 80 ou, pour faire une référence plus moderne, du côté de Bee And Flower.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 9/10
J’imagine que ce qui pousse un musicien a former un one-man-band tient en deux possibilités : soit il n’a pas trouvé d’autres musiciens assez compétents pour interpréter ce qu’il veut créer, soit qu’il a une vision, ou plutôt une écoute, particulière, une « idée très précise de ce qu’il veut entendre » pour citer une de mes connaissances. Quelle que soit la démarche entreprise, le nantais Antoine Guibert, officiant également en temps que gratteux et choriste non permanent dans Belenos, est le seul maitre à bord de son projet solo qu’est Onirism, et dont voici poindre la proue avec ce premier album intitulé Cosmic Dream. « En route pour le pays imaginaire ! » dirait Peter Pan.
Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 8/10
Amis lecteurs, vous devez commencer à connaitre MOTW. Une formation de Heavy Metal mélodique franco tunisienne que votre Webzine préféré suit depuis de nombreuses années. Il n’y a pas si longtemps d’ailleurs vous pouviez lire la chronique de ‘Seven Souls‘ le tout dernier né du groupe qui vient tout juste aussi de fêter ses dix ans.
C’est quand même un événement qu’il faut marquer, un anniversaire important, quoi de mieux alors que de faire un retour en arrière, de revoir ce qu’il s’est passé ? C’est ainsi que MOTW décide de fêter son anniversaire, avec un nouvel album ‘Decade‘ , MOTW a choisi dix morceaux de sa discographie qui se voient entièrement ré enregistrés et remastérisés de version plus professionnelle, quand on vous disait qu’avec ‘Seven Souls‘ MOTW était passé dans la cour des grands.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Wilhelm von Graffenberg) : 8.5/10
Cinq fruits et légumes par jour, un repas varié et équilibré… Cela semble être la devise de Gargantua, groupe francilien qui, dans son premier EP intitulé Avant Propos, nous prépare un mets digne de l’abbaye de Thélème : le « savoir jouir de tout ».
Tradition rabelaisienne ou pas, dans cette formule entrée + plat + salade + dessert, on passe du Thrash au Prog au (Hard/Metal/Death)Core au Black Metal au Gothic au Death mélodique dans ce joyeux foutoir musical fait de quatre morceaux, mais qu’importe l’ordre. Un soupçon de genres éloignés viennent par pincée agrémenter le tout (tchatcha me semble-t-il, mais aussi jazz).
Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 8/10
Attention grosse surprise.
Voici un groupe tunisien que l’on n’attendait pas. Riffburn est une formation existant depuis 2012, après quelques concerts locaux, elle sort deux premiers singles ‘Bounce Reverse‘ et ‘I Will Rise‘ , ces deux derniers confirmant le potentiel de Riffburn, quoi de mieux que de sortir alors le premier album: ‘Road To Cross‘ auto produit et disponible depuis mai 2015.
Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7/10
MOTW est une formation franco-tunisienne de Heavy qui vient tout juste de fêter ses 10 ans. Pour cette occasion un nouvel opus ‘Seven Souls‘ est sorti en décembre, mais aussi un double album du nom de ‘Decade‘ comprenant dix morceaux du répertoire de MOTW réenregistrés et remasterisés afin d’obtenir une qualité professionnelle.
Attaquons-nous à ce ‘Seven Souls‘, un opus séparé en trois actes, le premier de trois titres « Earth Is No More », suivi du plus complexe « The Seven Souls » composé de sept morceaux incisifs et « … To The End Of Time » qui comme son nom l’indique vient clôturer l’épopée.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Wilhelm von Graffenberg) : 9/10
On s’était habitués à la British Invasion, va désormais falloir faire avec l’Australian Kiss. Dans les deux cas de figure, c’est assez jouissif, hé, hé, hé… Australia’s got Talent, assurément ! Dark Symphonica, groupe sis à Brisbane, propose son premier album, Immersion. « Dark Symphonica likes Cradle of Filth + Epica + Nightwish + Dimmu Borgir + Dream Theater + Arch Enemy”… Je crois que tout est dit dans ce statut, ça résume bien ce que propose le groupe australien, ces influences étant tout à fait repérables sans en avoir la liste exhaustive sous les yeux. Cool, je suis dans mes éléments de prédilection
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Erikillmister) : 5/10
Rien de bien neuf sous le soleil de Lancaster, Pennsylvanie, comme le confirme la sortie de cet EP de From Ashes to New, « Downfall ». Malgré un effort assez important visant à donner un peu de punch à l’ensemble avec un mixage somme toute assez réussi, le jeune groupe américain se contente d’essayer de surfer sur la vague de ses glorieux ainés que sont Linkin Park, Lim Bizkit, voire à un degré moindre Hollywood Undead. On ne pourra pas leur faire le reproche de ne pas mettre du cœur à l’ouvrage car, et c’est là sans doute la seule qualité de l’enregistrement, ça dépote relativement bien. Non, le problème n’est pas là, mais plutôt dans le manque flagrant d’originalité des quatre titres proposé ici.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Si ça, ce n’est pas un retour aux sources…
Brume, unique membre d’Haeretical Psalmody, nous balance en cet automne un album aussi glacial qu’une bombonne d’hydrogène liquide, avec un son on ne peut plus cru, avec la bonne vieille méthode du do it yourself.
En sept titres dont deux instrumentaux pour 37 minutes de musique, Brume nous renvoie tout au début des années 90, avec une production digne des sonorités les plus glaciales des groupes les plus raw de l’époque, un son incroyablement malsain, un chant écorché à la limite de la saturation et de longues plages musicales, plaintives quoique rapides, et on se retrouve à l’époque des « Transylvanian hunger » et franchement, il y a pire comme comparaison.
Lire l'article