Note du SoilChroniqueur (Francky Snow) : 9/10
Mathusalem est la personne la plus âgée mentionnée dans l’Ancien Testament.
Un colosse qui aurait vécu 900 ans et qui serait même mort après son fils…
Mais il n’est pas question de religion, ici nous allons parler d’une nouvelle révélation du Stoner Doom qui vient de nous tomber dessus en cette année 2015.
Et que dirais-je de plus : Un one-man band piloté par un certain Mathieu Thomas, un illustre inconnu au milieu de toute la scène métal française et internationale.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Ah ben quand même : on l’aura bien attendu, le successeur de « 7 » qui date déjà de huit ans !
Après un long bail sans line up, le Witches d’une Sibylle Colin-Tocquaine (guitares, chant), qui s’est quelque peu amusée entre temps avec Women In Iron Form et Hellbombs histoire de ne pas perdre la main, nous revient avec un groupe tout neuf, reformé en 2014 avec les arrivées simultanées d’Olivier à la basse (Depravity Caused Addiction, Ferocity, Apostle of Dementia, ex-Ultima Forsam, ex-Absurdity, ex-Inhumate, ex-No Return, ex-Vacarme), Jonathan « Sangli » Juré à la batterie (ex-Absinthe, ex-Disaster, ex-Insain, ex-Anevrism) et Lienj aux guitares (Desarticulate, ex-Kaemorph,ex-Orgasmic Tears).
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 8,5/10
Une bonne dose de Rock N’ Roll, ça fait toujours du bien non ?
Voici alors un jeune groupe qui est fait pour vous : Dog’N’Style, cette formation originaire d’Epinal, a sorti en janvier un premier Ep 5 titres éponyme. Le distribuant essentiellement à la fin des concerts, celui-ci est également disponible sur Deezer si vous voulez vous faire une petite idée avant de la commander.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Groupe australien fondé en 2014, premier EP qui nous est sorti au début de cette année, le trio Ur Draugr nous balance une autoproduction de trois titres qui nous donne à elle toute seule une idée de son potentiel pour le moins énorme.
Inutile de chercher trop loin leurs influences principales, elles se situent dans la première période d’Opeth, quelque part entre « Orchid» et « Still Life ».
Si d’aucuns peuvent prétendre que, dès lors qu’un groupe lorgne vers un Death Metal, à tendance progressive qui plus est, avec quelques intonations à chercher du côté du Jazz voire du classique, on peut l’estampiller de pro-Opeth, ce serait se la jouer quand même quelque peu facile si on parle d’Ur Graugr.
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Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 7/10
Du Rock’N’Roll comme au bon vieux temps, mais plus frais et délivré par des jeunes, oui, ça existe encore mais ça ne révolutionne pas le genre ! Le Rock’N’Roll se voit revivre grâce des groupes comme ça, qui d’autant plus meublent cette scène française assez pauvre.
On est d’accord, la pochette ne fait peut-être pas très Rock, mais elle est classe !
Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10
Oyez oyez, Il est arrivé ! Ce premier album de Dreamslave : « Rest In Phantasy » !
J’ai découvert ce groupe lyonnais en concert et depuis cette première grosse claque que j’ai reçue, je ne raterai plus aucun concert d’eux.
Il faut dire que s’il y a bien un groupe de métal symphonique français à voix féminine dont on peut être fier c’est bien Dreamslave. Oui je sais, vous allez me sortir Whyzdom, Bel’o’kan, Theopsya et d’autres, mais mon groupe préféré reste de loin Dreamslave et c’est lui qui se rapproche le plus Nightwish mais à l’état amateur.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 7/10
La fusion, mélange assez surprenant et déroutant.
Il ne faut oublier que l’acier qui sert à faire les épées et les haches est un alliage de fer et de carbone. Il faut monter les deux éléments sous haute température pour les fusionner et obtenir ce précieux mélange.
Entre le Métal et le Rap, il y a une énorme passerelle et la température entre ces deux mondes est très haute. Les conditions seraient donc réunies pour faire le mélange ?
Il faut dire que c’est un exercice très difficile car au moindre faux pas, le groupe se fera traiter de bouse par les deux parties. Il faut donc réussir à trouver la juste dose de chaque ingrédient.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Découvert en janvier dernier lors d’une soirée Black Metal au Brin de Zinc à côté de Chambéry, Physiology Of Darkness m’avait agréablement surpris avec son Black Metalaux ambiances ésotériques travaillées.
L’atmosphère générale, limite pieuse, avec des musiciens en robe de bure et à capuche, en rajoutait à l’ambiance solennelle de l’ensemble.
Leur set m’avait bien donné envie d’en savoir plus et, quelque part, l’arrivée prochaine de ce « The Dark Lake » me donnait l’occasion de satisfaire ma curiosité.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 6,5/10
C’est toujours compliqué de devoir chroniquer un single deux titres, tant on a vite fait le tour des dix minutes de musique proposée.
Steel Inferno et son nom bien stéréotypé ne fait pas dans la grande surprise : un Heavy Metal bien véloce, aux limites du Speed, avec son lot de duels de guitares, ses couplets / refrains vite mémorisés après une écoute et un son old school nous ramenant pile poil entre 1982 et 1986.
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Note du Soilchroniqueur (Lusaimoi) : 8,5/10
En 2012, With Decay… and no Compassion, s’affichait avec ce paysage urbain nocturne et ces quatre titres qui avaient pour principal/unique défaut une durée totale de 12 minutes. Un an plus tard, surgissait I Am the Noise… You’re my Silence, que je n’ai découvert que récemment et qui enfonçait le clou du premier EP tout en restant dans sa continuité. Toujours aussi étonnant, toujours aussi lourd, même si ce terme peut sonner comme une insulte à la subtilité du projet, toujours aussi splendide avec un « You’re my Silence » qui suffit pour convaincre.
Fin 2014, la trilogie se termine, avec Songs For… Glasgow…