Note du Soilchroniqueur (Lusaimoi) : 7/10
Après avoir partagé, en 2012, la galette The Meeting Point avec Volte Face (devenu depuis John is a Girl), Corbeaux, le côté le moins électronique et le plus électrique de ce split original et réussi, est de retour avec Hit The Head. Ce deuxième album, dont l’artwork intriguant renvoie au cinéma des années 50-60, Hitchcock en tête, emporte le groupe vers des sphères plus typées Metal où l’onirisme des passages les plus calmes se voit contrebalancé par des explosions beaucoup plus saturées qu’auparavant.
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Alors que son successeur, Just… Die, va pointer le bout de son nez d’ici peu, il était temps d’effectuer un retour en arrière… Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7/10
Une bonne dose de Thrash Metal de derrière les fagots vous en pensez quoi ? Vous connaissez peut être Still Storm ? Si vous lisez ces lignes depuis longtemps normalement oui car on vous avait déjà parlé de leur premier EP « No Rules ».
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 5,5/10
Ils ne s’en cachent pas : le nom de leur groupe, Axe Crazy, est tiré du titre d’un single de 1982 de Jaguar.
Ça donne déjà une idée de l’orientation musicale du groupe.
Avec un nom et une pochette d’album pareils, inutile de dire qu’on nage une fois de plus dans le old school et que rien, mais alors rien, n’a ici la moindre once de modernité.
Que nenni !
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Voilà un groupe qui, en un peu plus d’un an, a fait un sacré bon. Crowling, je les avais découverts en 2013, en première partie de Hord. Je les avais trouvé plutôt sympa, pratiquant un bon Thrash mélodique, mais un peu timide sur les planches. Une chose normale, puisqu’à cette époque, ce show était seulement leur deuxième. Je les avais ensuite revus à la fête de la musique, quelques mois plus tard, pour une prestation un peu plus confiante Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Chrisluna) : 6,5/10
Attendez vous à du tranchant avec nos Irlandais de Killface !Tel une armée de death-métalleux à la old school venu des tréfonds des ténèbres pour hurler la mort, l’agressivité, la violence à nos oreilles !!
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar):8/10
Un bon petit retour aux sources ne fait jamais de mal.
Quand on parle de sources, bien entendu, il ne s’agit pas de remonter le fleuve comme un saumon pour aller pondre dans les lacs en altitudes. Car sinon, on risquerait de se faire manger par les ours… Enfin bon trêve de plaisanterie. Car avec So What! on ne rigole pas tant que cela. S’il remontait le fleuve, se serait pour coller une baigne à l’Ours.
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Note du Soilchroniqueur (Lusaimoi): 7/10
Du Death Mélo à la suédoise, ça vous dirait ? Et du Death Mélo à la suédoise français ? Oui ? Bah ça tombe bien, puisque c’est justement de ce dont nous allons parler aujourd’hui, avec Sound of Memories. Un nom qui sonne comme un hommage aux groupes que tous les amateurs du genre gardent en mémoire.
Un groupe jeune, puisque formé en 2013, qui nous sort déjà son premier EP, Living Circles.
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Note du Soilchroniqueur: 7/10
Kaylz est un groupe qui m’évoque un certain mystère. Non pas qu’ils veulent, comme certains, masquer leur identité ou se cacher derrière des personnages fictifs. D’ailleurs, on sait pas mal de choses en ce qui les concerne. On sait que c’est un trio de Post-Stoner qui s’est formé en 2009 à Grenoble, qu’ils ont sorti en 2010 une première démo et qu’ils ont écumé pas mal salles de concerts et de festivals, partageant ainsi l’affiche avec de nombreux noms. Bref, un groupe jeune, mais déjà fort en expériences.
Mais là où le groupe se montre plus secret, c’est sur leur nom, Kaylz, que l’on retrouve aussi dans le titre du premier morceau. Quant au nom de cet EP, Obsidian Echoes, il reste très vague et évocateur, tout en renvoyant à l’artwork, mélange d’abstrait et de symbolisation d’un abysse – ou d’une onde sonore – et dont l’une des deux couleurs renvoie à celle de la pierre obsidienne.
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Note du Soilchroniqueur (Lusaimoi): 7/10
1999, c’était il y a quinze ans. Quinze ans. Ça nous rajeunit pas, hein ? À l’époque, j’étais au début du collège. On était encore champions du monde, même si au fond, je m’en fous. Il s’en est passé des choses, depuis. Et si je vous parle de 1999, c’est parce que Grazed est né cette année-là. Enfin, pas vraiment, puisqu’il existait déjà sous le nom d’Ysyssy depuis 1997, mais c’est en 1999 que le groupe a changé de nom. Depuis, et après des débuts difficiles marqués par de nombreux changements de line-up, Grazeda sorti trois albums : Every End en 2000, Dragonsneeze en 2010 et Neandertal en 2012, et un EP, Laughing to Death, en 2005. Quinze ans de Thrash/Death direct, bien qu’assez technique et bas du front – sans que ce dernier terme soit péjoratif pour autant. Et si ce nom n’évoquera pas grand chose à beaucoup d’entre vous, c’est parce que Grazed est, et se revendique d’ailleurs, underground.
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