Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

Direction l’Ukraine pour rencontrer les black métalos de Grave Circles. Ce n’est pas que ce « Tome II » (succédant donc à l’Noté « Tome I » paru en 2017), édité en indépendant, soit phénoménal mais comme le chanteur Baal est également crédité comme batteur chez Peste Noire depuis 2018, cela pousse à la curiosité, la mienne tout du moins.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

Svartgren est serbe, il joue du Black Métal de la mouvance Raw, « Divlja Vatra » est son deuxième album et il m’a d’abord attiré l’œil avec sa pochette superbe avant d’attirer mes oreilles avec son style sans compromission.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,99/10

Ce n’est pas la première fois que Ván Records nous dégotte un groupe de black metal de derrière les fagots, qui en plus a le mérite tant de sortir des clichés habituels que d’être impressionnant de richesse et de qualité. Entre Kosmokrator, Urfaust, Árstíðir Lífsins ou The Ruins Of Beverast pour ceux qui m’ont particulièrement marqué. Mais alors là…

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10

J’aurais pu me réfugier derrière l’excuse de l’éloignement géographique pour justifier le fait que je n’avais jamais entendu parler des Basques de Numen avant la sortie de « Iluntasuna Besarkatu Nuen Betiko » chez Les Acteurs de l’Ombre mais je m’en garderai bien. Tout simplement parce que le sextette a sorti son premier EP, « Haize Sorginduen Intziriak« , en 2000, époque où j’habitais encore Bayonne. Impardonnable de ma part donc que d’avoir ignoré si longtemps l’existence de cette formation de Black Métal colorée de Folk mais bien heureusement pas trop. Je dis ça car, à titre personnel, les trips festifs folkloriques, ça me casse les oreilles et me passe assez rapidement le goût de la joie.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

Beau petit OVNI que ce quatuor danois (Copenhague) formé en 2015 et qui sort son deuxième full length après le prometteur “Orm” de 2017, déjà chez Indisciplinarian, label de Jacob Krogholt, guitariste de Rising après avoir fait ses armes chez Cyanotic puis Withering Surface. Les quatre membres d’Orm, eux, viennent tous du défunt groupe By The Patient qui officiait plutôt dans un bon compromis entre le thrash, le death et le black metal bien mélodique.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

J’ai découvert les Norvégiens de Crest of Darkness en 1999 avec leur deuxième album « The Ogress », qui est souvent celui que l’on cite en référence lorsqu’on parle d’eux mais j’avoue que, depuis, j’avais complètement lâché l’affaire. Pourtant, « The God of Flesh » est leur huitième LP, il s’est dont passé des choses entre-temps et je n’en ai jamais rien su.

Aussi, histoire de me faire une mise à niveau, j’ai survolé rapidement les trous qu’il y avait dans ma connaissance pour, déjà, m’apercevoir que le trio a une faculté de renouvellement stylistique assez incroyable, tout en gardant son identité sonore.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10

Une fois n’est pas coutume, je vais faire long. Aussi, pour ceux qui n’ont ni le temps ni l’envie de lire un pavé, la chronique sera scindée en deux parties : la première dédiée à l’album, la seconde à la date parisienne du 05/11 de cette année.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9/10

« Il y a eu dans le monde autant de pestes que de guerres. Et pourtant pestes et guerres trouvent les gens toujours aussi dépourvus. » Albert Camus.

Faisons un petit bond en arrière si vous le voulez bien, du temps où la musique n’était pas ce qu’elle est aujourd’hui, où la musique métal n’était que le méandre futuriste inaccessible à cette époque. Nous sommes au temps des grands rois scandinaves, de Håkon VI très exactement. Oslo devient à ce moment-là un ville très puissante, qui atteindra même une apogée économique exceptionnelle pour l’époque. Puis vint l’année 1349 et l’arrivée de la Peste Noire qui causa son déclin aussi exponentiel que l’était sa puissance.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 9/10

Je n’aime pas commencer un texte en étalant le CV des musiciens mais, pour Mortem, je vais faire une exception.
Steinar Sverd Johnsen : Arcturus, Emperor, Covenant, The Kovenant, Ved Buens Ende.
Marius Vold : Arcturus, Thorns.
Hellhamer : lui ça devrait aller, tout le monde connaît, c’est un mythe vivant.
Tor Stavenes : 1349.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10

Au regard du pedigree des membres de Gaahls Wyrd et compte tenu du fait que Gastir – Ghosts Invited, le premier album des Norvégiens, est sorti en mai de cette année, je me doute que vous ne m’avez pas attendu pour vous le procurer. Cependant, s’il y a comme moi des derniers de la classe parmi nous, c’est le moment de passer le rattrapage et de foncer écouter ces huit superbes compositions de Black Metal moderne qui raviront les amateurs d’Arcturus, de Code, de Vulture Industries, de Virus ou des plus anciens Ved Buens Ende…