Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10

Seulement auteur d’un split en 2017 avec les compatriotes de Parh, « Manhunt » est donc le premier album des Polonais de Baalberith. Si l’étiquette parle de black death metal, il faudra comprendre cela dans le sens où, à l’image de formations telles que Deicide ou Infestdead qui semblent avoir fortement influencées le quintette, la musique est résolument death mais avec un état d’esprit et quelques ambiances totalement black.
Le premier truc qui m’a marqué à l’écoute de ces sept compositions, c’est le chant guttural « naturel’ de Left.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10

Tu le sens venir le truc totalement underground ? A l’origine édité uniquement en cassette par Transylvanian Tapes puis en CD chez le belliqueux label Godz ov War Productions, l’EP « Strange Customs » des Américains de Cult Graves atterrit aujourd’hui dans mes frêles tympans.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Ils sont quatre pour foutre tout ce bordel, viennent tout droit de Pologne, ont formé ce groupe Witchfuck à haute teneur poétique en 2017.
Après un EP Disgusting rock ‘n’ roll sorti la même année sur lequel on a droit à une reprise pas piquée des vers de “Violence now !” (GG Allin & Antiseen), le groupe sort coup sur coup trois splits avec Culto Negro (2017 toujours, les quatre titres de ce split étant les mêmes que ceux de l’EP), puis avec Throneum, Necrosadist et Empheris (Night of terror en 2018, avec encore deux titres de l’EP), et enfin à nouveau avec Necrosadist (Blasphemous Hell’s legion en 2019, avec… deux nouveaux titres dis donc !).

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 7/10

Ha ben tiens, je me foutais tout bas de la trogne au demeurant fort agréable de mon collègue Quantum aux mœurs étranges qui consiste à se fouetter avec son pénis (NDLR du Posteur : en même temps… Qui ne joue pas avec son pénis? Même les femmes le font), lorsque notre guide nitescent Metalfreak lui refilait tour à tour grands nombres d’albums réédités.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 7/10

Evulse est un jeune groupe Californien qui voit le jour en 2018.
Ils sortent une première démo, Call of the Void en 2018 puis une seconde, Pustulant Spawn en 2020, sortie sous le label Transylvanian Tapes puis rééditée par Godz ov War Productions cette fin février.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

Une pochette bien démoniaque en noir et blanc sur fond de logo rouge qui peut rappeler celle de “Fallen Angel of Doom…” de Blasphemy, des pseudos à coucher dehors à rallonge comme Blasphemy, une imagerie satanico guerrière comme Blasphemy…

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9/10

Après avoir sorti deux EP, Killing Spree en 2016 et Watching You Die en 2018, Cancerfaust nous revient avec un premier album, Let the Earth Tremble , signé par Godz ov War Productions.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

Pour une nouvelle leçon de noirceur, de misanthropie et de chaos, c’est par ici que ça se passe !

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

Après « Cadaverine » paru en 2018, le trio d’Eternal Rot nous revient avec une deuxième offrande toujours dédiée à la mort, au gore et aux zombies : « Putridarium« .

Esthétiquement, tout est cohérent : le logo dégoulinant, les pochettes dessinées en noir en blanc à la thématique hyper convenue mais, cela dit, relativement efficace (on imagine sans mal que cela doit bien claquer sur un t-shirt et faire mousser le porteur à peu de frais au cours d’une soirée true underground). Et bien entendu la musique doom death pas raffinée pour un rond et dont les riffs me font d’ailleurs bien plus souvent penser à du sludge qu’à du metal.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9/10

« Il n’y a parfois aucune différence entre le salut et la damnation. » (Stephen King)

J’ai su, en étudiant l’histoire de la musique metal, qu’il y avait eu une guéguerre entre les groupes scandinaves de Black Metal et les américains de Death Metal. Comme deux chiens enragés qui refusaient de se partager un fémur de dinosaure, cette guéguerre a notamment été relaté par un chanteur américain de Death Metal que pourtant je déteste au plus haut point pour la personne qu’il est, mettant de côté son très bon growl : Glen Benton du groupe Deicide. Si l’on s’étend au-delà du fait qu’une guerre n’est jamais vraiment porteuse de bonheur, le sujet même de ce conflit idiot m’échappe totalement par son irrationalité.