
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 10/10
Très sincèrement, si je devais un jour conserver un seul et unique album de Death Métal, ce serait celui-là. Il est inégalable, tout simplement. Tout y est porté à son paroxysme pour un résultat d’une ampleur quasi surréaliste : la complexité des structures complètement délirantes (« I Cum Blood »), le chant indicible, le son poisseux qui se coagule dans les oreilles, l’ambiance écœurante de perversion (« Addicted To Vaginal Skin » ou encore ce passage où l’on entend des voix d’enfants), les noms des morceaux qui sont tous des petits bijoux de macabre, le jeu de basse ahurissant d’Alex Webster, il n’y a rien dans Tomb Of The Mutilated qui soit critiquable.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8.5/10

Note du Soilchroniqueur (Arno) : 7/10
Comparé à la majorité des groupes de la même époque, les 90’s, il me semble que Broken Hope s’est rapidement distingué de la masse certes grâce à son niveau technique élevé mais surtout par le choix d’un son froid et massif, clinique pour ainsi dire.
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Note du Soilchroniqueur (Arno):7/10
Des EP de la qualité d’Ezkaton, j’en demande tous les jours. De l’inédit, du live, des reprises, tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment. Déjà, on se fait sauvagement agressé par « Chant For Ezkaton 2000 e.v. » et son riff hyper entraînant puis bloqué la respiration, écrasé par un « Qadosh » violent et sans répit.
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Note du Soilchroniqueur (Arno ) : 6,5/10
Le savoir faire des Suédois en matière de musique extrême n’est plus à démontrer, ce pays a toujours enfanté des groupes de grande classe. Aeon ne fera pas ombrage à ce tableau idyllique tant son Death Métal est costaud, maîtrisé, bien que peut-être trop appliqué et référentiel.
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Note du Soilchroniqueur (Arno) : 6/10
Aeon est un bon groupe. C’est techniquement irréprochable, la production est toujours au poil de cul, le premier mot prononcé sur Rise To Dominate est « Lucifer », ils viennent de Suède, à priori c’est le parcours sans fautes. Pourtant, pourquoi ai-je avec eux le très fâcheux sentiment de toujours écouter le même album ? Que l’on prenne ce disque, Path Of Fire ou Aeons Black, c’est du pareil au même.
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Refaire la bio d’un groupe comme Desaster prendra un temps fou : pour résumer, ce groupe allemand formé en 1988 a un CV long comme mon bras en matière discographique avec ses deux démos, cinq splits, trois EP, deux singles, deux compilations, deux live et « The arts of destruction » est le septième album « full-length » après des tueries ultimes comme l’ont pu l’être les excellents « Hellfire’s dominion » (1998), « Angelwhore » (2005) ou « Satan’s soldier syndicate » (2007).
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