Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Quand on regarde le line up et surtout le background de chacun des musiciens qui composent Endseeker, on sent qu’on pourrait bien avoir affaire à du lourd. Voyez plutôt : quand on connaît le bassiste Torsten Eggert (ex-Buried in Black, ex-Dark Age), le batteur Andre Kummer (ex-Agares, ex-Mephistopheles, ex-Nayled, The Retaliation Process), les guitaristes Jury Kowalczyk (The Retaliation Process, ex-Agares, ex-Mephistopheles, ex-Nayled) et Ben Liepelt (ex-Buried in Black) et le growleur en chef Lennart « Lenny » Osterhus (Devastator, Tollwut, et quelques featurings chez Negator), on s’attend à quelque chose de fiable et crédible en matière de metal extrême !

Note du SoilChroniqueur (Nikro) : 9,5/10

Cannibal Corpse c’est quoi ? C’est un petit groupe de Death américain, présent depuis le début des années 90 sur la scène internationale.

Un nouvel Album ? Chouette !

Note du SoilChroniqueur (Kenpachi) : 9/10

 » La musique d’aujourd’hui adoucit les mœurs et rend sourd. « 
Frédéric Dard

Il y a des chroniques plus facilement abordables que d’autres, des groupes plus facilement digestes que d’autres, et, il faut l’avouer, certains albums ne méritent pas une, ni deux, ni trois écoutes, mais de bonnes dizaines pour en saisir toute la quintessence. Ici, c’est le cas. C’est la raison pour laquelle l’auteur de cette chronique n’a pu livrer son avis au plus tôt : plutôt que de tomber dans la facilité et l’avis trop immédiat, il a préféré pouvoir s’imprégner totalement de ce nouvel album complexe qu’est celui de Dvne, Etemen Ænka. Le combo écossais (Edimbourg), n’en est pas à son premier essai et signe ici son deuxième album après un excellent Asheran sorti en 2017 qui avait déjà fait grand bruit, ainsi que trois EP (Progenitor, 2013 ; Aurora Majesty, 2014 ; Omega Severer, 2020) tout aussi bons. Il faut dire que, bien que la génèse du groupe ne tire ses racine qu’en 2013 (de 2013 à 2015, sous le nom de Dune, puis sous le nom actuel), ils ont déjà été passablement prolifiques. C’est donc après une certaine expérience non-négligeable que nous aborderont ici ce nouvel opus.

Note de la SoilChroniqueuse (Cilou Bulle) : 7,5/10

Formé dans les années 90, The Crown est un groupe de death melo’ / thrash emblématique de la scène suédoise. Les membres originaux Johan Lindstrand (chant), Magnus Olsfelt (basse) et Marko Tervonen (guitares) sont toujours présents. Robin Sörqvist (guitares lead) et Henrik Axelsson (batterie) ont rejoint la formation respectivement en 2013 et 2014.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8/10

“Mieux vaut allumer une seule et minuscule chandelle que de maudire l’obscurité.” Proverbe chinois

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

Décidément, depuis l’incroyable Diabolic de 2013, Accu§er ne sait pas ce que c’est que de produire de mauvais albums !
Entre The Forlorn Divide (2016) et The Mastery (2018), le quatuor teuton sembla avoir décidé de nous coller une nouvelle mandale tous les deux ans : quel retour sur le devant de la scène thrash metal depuis le retour du nom Accu§er en 2008.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10

Définitivement, quand on est fan d’ Armored Saint, il ne faut pas être pressé.
Depuis 1984 et l’impeccable March of the Saint, le groupe, toujours emmené par les membres originels que sont le bassiste Joey Vera (Fates Warning, Mercyful Fate, Motor Sister, Joey Vera, John Arch, A Chinese Firedrill, ex-Arch / Matheos, ex-Seven Witches, ex-OSI, ex-Engine, ex-Invasion, ex-Royal Decree, ex-Sapphire), le batteur Gonzo Sandoval (ex-Helizer, ex-Life After Death, ex-MX Machine, ex-Royal Decree), le guitariste Phil Sandoval (ex-Life After Death, ex-Royal Decree) et le chanteur John Bush (ex-Anthrax, ex-Stone Soldier, ex-Royal Decree) rejoints en 1989 par le guitariste Jeff Duncan (DC4, Odin, ex-Bird of Prey, ex-Lostboys), sort son (seulement) huitième album cinq longues années après Win Hands Down, lui même cinq années après La Raza.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10

C’est qu’ils m’ont fait peur, en 2017, les Australiens de Harlott !
Après trois albums relativement bien foutus, nommés Origin (2013), Proliferation (2015) et Extinction (2017), j’ai bien cru qu’ils en avaient terminé, d’autant que le dernier titres du dernier album était “Epitaph” !
Si ça, ce n’était pas de l’écriture de testament (non, on ne parle pas du groupe de Chuck Billy, du moins pas tout de suite), ça y ressemblait quand même beaucoup.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9/10

“Il n’y a que l’inutilité du premier déluge qui empêche Dieu d’en envoyer un second. ” Chamford

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 3/10

Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il commence à y avoir de la constance chez Six Feet Under.