
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
“Siege of Power”, de mémoire, c’est un titre de Napalm Death sur l’album Scum. Et quelque part, c’est assez difficile de ne pas y voir de corrélation.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 5/10.
– “Et nous vous présentons Chris “Metalfreak”, metalleux, qui va vous parler du nouvel album de Satan, Cruel Magic…
– Je ne suis pas un metalleux, Monsieur. Je ne sais pas ce qui vous fait dire que je suis un metalleux, mais je ne suis pas un metalleux.
– Votre “apparence”
– Ah bon? Il ne faut pas confondre identité de genre et expression de genre sinon on va déjà mal partir. Je ne suis ni metalleux ni non-metalleux et je refuse qu’on me genre comme un metalleux.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’une fois la première écoute passée, cet album m’a collé une patate incroyable !! Kissin’ Dynamite, je suis bien obligé de l’avouer honteusement, je ne m’en étais pas préoccupé plus que ça jusqu’à ce que je les vois en live le 26 mai dernier au Metal Grésifest huitième du nom.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9/10.
Qu’a popularisé Ulf « Uffe » Cederlund et qui a fait ce son si représentatif d’Entombed sur l’album Left Hand Path ?

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10.
J’avais déjà chroniqué en ces pages le deuxième album de Rivers of Nihil, Monarchy (2015) et je m’étais fendu d’un généreux 7/10. Généreux car, avec le recul, je ne peux pas dire que ce disque ait survécu aux trois années passées : je ne l’écoute plus. Il était bon sur le moment mais, comme souvent, il vieillit mal, supportant mal la concurrence.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10.
Avez-vous déjà vu le physique de James Pligge, le chanteur de Harm’s Way ? Une montagne de muscles tatoués. Vous allez me dire qu’à moins d’aimer les mecs au torse épilé, on s’en cogne un peu de sa dégaine mais moi, lorsque je l’ai vu pour la première fois pendant que je préparais cette chronique et que je regardais quelques liens Youtube, la première chose que à laquelle j’ai pensé, c’est que si jamais un grand balèze comme lui se mettait à faire des vocalises en voix claire comme c’est la mode chez les petits jeunes à mèches, je risquerais de perdre tout mon sérieux pour écrire quelques lignes au sujet de ce nouvel album à paraître chez Metal Blade : Posthuman. Heureusement, c’est un gueuleur. Pas le meilleur, loin s’en faut, mais au moins il a la voix de sa carrure.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10.
Décidément, depuis leur retour sur le devant de la scène thrash teutonne, Accu§er semble avoir décidé de nous balancer une nouvelle déflagration sonore avec une régularité digne d’une horloge helvétique.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10.
Vomitory est pour moi la définition même du groupe dont on se disait qu’il allait bien finir par percer tant ses albums sont bons mais qui reste éternellement en deuxième division. Acharnement du sort ? On se demande bien pourquoi les portes d’une plus large reconnaissance publique ne se sont jamais ouvertes, même si avoir un succès d’estime reste toujours appréciable.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10.
Il y a trente-deux ans de ça, le monde du Doom Metal se trouvait révolutionné avec la sortie d’un “Epicus doomicus Metallicus” d’un certain Candlemass ! Certains observateurs n’avaient pas hésité à qualifier cet album comme étant “une œuvre phénoménale qui marquera l’histoire du rock”… Il faut le reconnaitre, encore aujourd’hui, lorsqu’on parle de Doom Metal épique, on pense immédiatement au premier album du groupe Suédois. Depuis, bon nombre de groupes s’en sont réclamés, avec plus ou moins de bonheur, avec plus ou moins de réussite, les plus marquants restant des Solitude Aeturnus, Reverend Bizarre ou les excellents Italiens d’In Aevum Agere.
Musicalement, on retrouve le côté Candlemass dans les compositions de Sorcerer, et pas uniquement parce qu’ils partagent le fait d’être aussi Suédois avec leurs glorieux ainés.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Trois années après un furieux “A skeletal Domain”, voilà un nouvel album pour le groupe le plus furieux en matière de Death brutal et toujours d’une efficacité sans limite ! Et à quoi s’attendre quand on se prend un album des Floridiens dans la figure ? Non, qu’on se rassure de suite, ils n’ont pas viré metal prog, ni hard FM ! Quand on voit un nouvel album de Cannibal Corpse sortir, il faut s’attendre à écouter ce qu’ils font de mieux : du Cannibal Corpse.