Note du SoilChroniqueur (H.P Hatecraft) : 6.5/10
Si je vous disais qu’un groupe anglais du nom de Mabel Greer’s Toyshop vient de rempiler avec un nouvel album, ça ne vous parlera certainement pas. Mais si je vous dis que le groupe YES (rien à voir avec la musique que vous écoutez, bande de métalleux cracheux), il faudra alors demander à vos papy du rock… Ou alors, si vous jouez de la gratte, peut être reconnaitrez-vous le tube « Owner of lonely heart » et ses quelques accords de l’intro que vous avez sûrement tenté de copier.
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Mallory va vous parler. Lire l'article
Quand j’ai vu cet artwork, avec ce calme paysage de coucher de soleil et ces néons, ou lasers, je me suis attendu à une sorte d’Electro ou de Dream Pop. Un truc serein et vintage ; doux et tout droit sorti des années 80. Une chose que semblait confirmer le titre de cet album, Starshine, et la police utilisée pour l’écrire, lui, ainsi que le logo du groupe.
Hein ? De l’Electro ? Sur Soil ? Bah oui, mais on est ouverts d’esprit ici. Et puis, de toute façon, cette première impression est trompeuse. Enfin, pas tellement. Enfin, j’y reviendrai. Lire l'article
Une aventure commencée en 1986, lorsque l’ex-Dead Or Alive jusqu’en 1984 (si si, rappelez-vous, les nostalgiques des années 80, qui se sont trémoussés sur « You spin me round » ou « My Heart goes bang »), après avoir remplacé Ben Gunn dans The Sisters Of Mercy pour enregistrer le mythique « First and last and always », fonde avec le bassiste Craig Adams un groupe du nom de « The Sisterhood » pour faire chier un Andrew Eldritch qui en revendique le nom et les pousse au procès.
Bataille juridique perdue pour Hussey and co qui renomment le projet The Mission… Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Si un reproche qu’on ne pourra pas faire à Incry, c’est bien qu’il n’y a pas mensonge sur la marchandise lorsqu’on écoute leur deuxième album.
« Rock.fr » : difficile de faire plus précis quand on fait un album bien rock… et en français, s’il vous plait !
Ça fait depuis « Shadows of the Sun » que je m’intéresse à Ulver. Faut dire que la pochette, à la fois magnifique et mystérieuse, de cet album a de quoi attirer. Mais bizarrement, je n’avais jamais franchi le pas pour m’y mettre réellement. Je sais pas pourquoi. Ulver était un groupe que je suivais de loin, mais sur lequel je n’avais pas encore posé d’oreille. En tous cas, le mal est réparé, puisque c’est « Childhood’s Ends » que je chronique aujourd’hui, dernier album en date du groupe. Et c’est un album plutôt spécial que les Norvégiens nous présentent ici, puisqu’il est entièrement constitué de reprises.
Comment ? Ulver avec toute une série d’excellents albums se seraient-ils perdus dans la facilité du banal album de reprises ? Lire l'article
Note de la Soilchroniqueuse (Son) : 9/10
Avant, pour découvrir un groupe, c’était bien simple : on entendait un single à la radio, ou bien un pote nous faisait écouter le disque, si ca nous plaisait on se ruait chez notre disquaire pour aller l’acheter, et après une écoute minutieuse et un apprentissage des paroles et des refrains plus ou moins volontaire, on se dépêchait d’aller voir le groupe quand il passait en live près de chez nous.
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