Note du SoilChroniqueur (Scarecro) : 7,5/10
Mark Duane Morton est le guitariste principal du groupe de Groove Metal américain Lamb of God, l’un des groupes les plus populaires certainement de la scène metal, avec en son rang Randy Blythe, chanteur que l’on peut voir figurer dans pas mal de projets guests.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Enfin !
Je vais être très franc : ça faisait bien quinze années que j’espérais que Within Temptation revienne avec une galette qui me refasse craquer ! Depuis The silent Force en fait, dernier album que j’ai adoré et qui cumulait les hits fabuleux – “It’s the Fear” et “Stand my Ground” en tête – et depuis, allant de déception en dégout, j’avais fini par lâcher le groupe, au point que je n’avais jeté qu’une oreille furtive sur un Hydra (2014) qui ne m’avait pas réconcilié avec le groupe suite à The Heart of Everything, The Unforgiving et surtout l’atroce album de reprises The Q-Music Sessions qui achevait de me convaincre que je ne pourrai plus aimer un album de la formation batave !
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10.
On ne s’en rend pas forcément compte mais Sigh est là depuis 1990, année de sortie de leur toute première démo, Desolation, et même s’il faut attendre 1993 pour que le premier album paraisse (Scorn Defeat), les Japonais font clairement partie des groupes pionniers du Black Métal et ont toujours eu un style bien à eux.
Note de la soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 6/10.
Quinze jours après trois écoutes de cet album choquant (ou surprenant) au premier abord, je me force à réécouter une quatrième fois… Bon, après tout ce n’est pas la première fois qu’on est surpris par la musique atypique et barrée de nos chers Norvégiens, mais là ils sont allés beaucoup trop loin !
Note du SoilChroniqueur (Celtikwar) : 8/10.
Voici une formation qui impose le respect.
Formé à Londres en 1976, The Damned est un groupe qui aura pendant quarante ans forgé le style du Rock Punk. Il aura fallut attendre dix ans pour avoir une suite à So, who’s paranoid publié en 2008 et Evil Spirits est la onzième publication du groupe… et rien n’a changé.
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8/10.
James Bond a son Walther PPK, Harry Callahan avait son Magnum 357, Marty McFly son Colt Peacemaker… Certains apprécieront d’avoir The Browning pour tuer le temps.
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 4/10.
Tout commence avec un jeune garçon, Bastien, qui, lisant un livre relié cuir – sans moustache – surplombé du sceau de l’Aurine, envoie cette plainte déchirante à son héros et ami imaginaire : « Atreyuuuu ». Par la suite, j’apprendrai qu’un groupe californien s’est attribué ce nom également, groupe dont je ne découvrirai la musique bien après sa formation en 1998, ce grâce à Guitar Hero Warriors of Rock sur PS2 avec le morceau « Ravenous » tiré de Congregation of the Damned de 2009, titre qui apparait vers la fin du jeu tant il est technique. C’est ici qu’intervient leur dernier album In our Wake dans ma narration…
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7/10.
Une bonne dose de Hard Rock vous tente ? Voici un groupe anglais que l’on nous aurait fait écouter quelque temps avant, on aurait parié qu’il s’agissait du nouveau NickelBack… Mais voici que ce dernier décline, Stone Broken nous rappelle donc cette grande époque.
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 3/10.
« Thus spake the Nightspirit », « I am the Black Wizard », « Inno a Satana »… Vous vous souvenez de ces morceaux ? Et bien d’autres, qui auront servi, à une époque pas si lointaine que cela, à forger un groupe aussi légendaire que controversé. Emperor, donc. Ah… Lointaine nostalgie d’un groupe qui avait marqué tant les esprits que les novices du genre Black Metal.
Note du SoilChroniqueur (Forlorn) : 7,5/10.
Ce qui s’avère être le plus intéressant n’est pas ce que nous avons là en soi, mais plutôt comment nous en sommes arrivé là. Godsmack, dans l’industrie musicale, c’est pas n’importe qui. Groupe créé depuis 23 ans à ce jour. Presque tous leurs albums se sont faufilés pour plus ou moins de temps en numéro 1 des ventes aux USA. Quand on parle de métal traditionnel, le nom de Godsmack finit toujours par être cité et c’est rarement en mal et, franchement, c’est pas pour rien.